Une résolution aberrante condamne le « racisme » du Président Trump

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Les quatre additions récentes à la Chambre du Congrès, désormais appelées le « Squad » -Brigade – ou « Les quatre cavalières de l’Apocalypse », des élues d’extrême-gauche qui passent le plus clair de leur temps à vouloir mettre en œuvre des décisions préjudiciables pour les États-Unis – ouverture des frontières, taxation élevée, Plan Vert supprimant vaches et moyens de transports, Plan santé irréalisable au coût exorbitant, etc. – et, bien entendu, la destitution du Président Trump, auront fait plier le chef de file des Démocrates et entraîné quatre Républicains pour un vote qualifiant le Président de « raciste ». Après une journée épique au Congrès.

La Chambre du Congrès américain aura été transformée en scène de cirque le 16 juillet 2019. La Présidente de la Chambre, la Démocrate Nancy Pelosi – elle-même qualifiée de raciste il y a quelques jours par l’une des membres du quarteron d’extrême-gauche nouvellement élu – bafouait les règles de bienséance de la Chambre, se faisait rappeler à l’ordre, était exclue temporairement pour une attaque ad hominem du Président, obtenait enfin satisfaction en faisant voter une résolution qualifiant des déclarations récentes du Président de raciste. Un genre de comportement qui ne s’était pas vu depuis 1985. Pour obtenir le nombre de votes nécessaire, elle avait obtenu le concours de quatre Républicains anti-Trump. De fait, elle cédait ainsi à la dérive extrémiste d’un parti dont elle est le chef de file à la Chambre depuis des lustres. Une manière bien peu glorieuse de terminer sa carrière politique. Elle s’est engagée, en effet, auprès du quarteron à se retirer sous peu pour pouvoir être réélue à son poste en début de session.

Une partie de la classe politique et des commentateurs américains ont exprimé leur stupéfaction et condamnation de ce qui s’est passé, appelant ce quarteron le « Squad » ou encore « Les quatre cavalières de l’Apocalypse ». Ce qu’elles proposent revenant, en effet, à détruire un pays qu’elles vilipendent à chaque occasion, avec ouverture des frontières – et un afflux d’immigrants venant de pays d’Amérique du Sud, mais pas uniquement, cartels criminels inclus -, Plan Vert absurde, avec suppression des moyens de transports et… des vaches, gratuité des soins de santé, de l’éducation, sans se soucier des coûts, des « réparations » à verser à ceux dont la famille aurait subi des discriminations au cours de l’Histoire des États-Unis, etc. Et elles entendent en finir avec les alliances classiques des États-Unis. Avec Israël, notamment. Autrement dit mettre en place un système à la Cuba ou autre « paradis » communiste. Leur arme pour avoir gain de cause, mis à part l’adhésion de ceux qui adhérent à ce qui peut sembler être un idéal égalitaire et humanitaire, est celle de la mauvaise conscience car elles se désignent constamment comme « femmes de couleur », donc doublement opprimées.

La trame de fond

Nous en disions plus sur ces personnages dans cet article publié le 16 :

Dans la foulée de ce vote une motion a bien entendu été déposée par un élu Démocrate – dans la mouvance du quarteron – pour destituer le Président. Ce qui devra être débattu dans les jours qui viennent. On verra alors si Nancy Pelosi, qui était opposée à cette action, pliera également devant les extrémistes de son parti.

Ces femmes ont, bien sûr, tout un ensemble de soutiens qui ont pour nom les islamistes de CAIR – mouvement aux États-Unis lié au groupe terroriste du Hamas -, un personnage pro-sharia, pro-Hamas, anti-israélien et antisémite, Linda Sarsour, le parti des Démocrates socialistes – proches du communisme – etc. L’une de ces cavalières, Rashida Tlaib, avec des liens avec le Hezbollah, se revendique comme Palestinienne et désinforme à qui mieux mieux, donnant une vision grotesque de ce que serait Israël. Dans les tweets qu’on lui reproche, Donald J. Trump, dénonçait d’ailleurs la haine de ces dames envers les États-Unis mais aussi Israël et les Juifs. Et il s’était borné de leur conseiller, au vu de cette haine, de quitter l’Amérique, d’aller mettre de l’ordre dans les pays d’où elles – ou leur famille – sont originaires et de rentrer pour faire profiter de leur savoir-faire, À aucun moment il n’a prononcé le mot race ou couleur ou même indiqué cette origine.

Une voie, à gauche toute, que vient donc de choisir la parti Démocrate américain ou sa majorité. Ce qui aura, bien évidemment, une influence notable sur les élections présidentielles de 2020. Les candidats à la candidature Démocrate renchérissant sur les prises de position aberrantes de ce quarteron pour suivre la nouvelle orientation de leur parti. Il est vrai que les accusations de collusion de Donald J. Trump, avec la Russie, qui ont empoisonné les deux premières années de son mandat, ayant fait long feu – et les enquêtes en cours vont sans doute révéler un complot démocrate pour le couler -, il fallait trouver une autre façon de le desservir. Le qualifier de raciste étant la nouvelle arme de choix.

Une campagne présidentielle qui va être mouvementée et les candidats démocrates s’entre-déchirent déjà à fleuret plus ou moins mouchetés… Tandis que le Président Trump ne démord pas de ses affirmations, soulignant à nouveau, sur Twitter, la haine de ce quarteron pour les États-Unis ou le fait qu’elles ne font avancer en rien le débat sur des questions importantes comme immigration, infrastructures, le prix des médicaments, etc. et exprimant l’opinion que si elles haïssent les États-Unis à ce point, elles seraient bien avisées de partir – elles viennent d’accuser tous les Américains de racisme. Il cite le sénateur de Louisine qui les qualifie de « cinglées » et poursuit ses réformes qui ont pour résultat une excellente économie et une diminution drastique du chômage, notamment chez les femmes, les Noirs ou les Hispaniques.

Gageons qu’il y aura foule, à nouveau, lors de sa réunion de campagne le 17 juillet au soir à Greenville en Caroline du Nord. On sent dans ces réunions l’adhésion d’une grande partie de l’Amérique à ce Président et une approbation pleine et entière de ses mesures. On peut s’attendre à un festival de citations montrant la dérive insensée du parti Démocrate.

Un démenti clair contre toute accusation de racisme du secrétaire Ben Carson

Le Secrétaire au Logement et au Développement, l’ancien neurochirurgien de renom, Ben Carson, lui-même issu d’un quartier défavorisé et au parcours exceptionnel, qui œuvre très positivement pour la réinsertion des populations pauvres, grâce au logement et en favorisant les investissements dans ce type de quartier, vient de prendre position au cours d’une interview à propos de cette controverse. Il s’inscrit en faux contre toute accusation de racisme contre le Président dont il dit avoir « l’avantage de bien le connaître » et explique que Donald J.Trump aime beaucoup le pays et estime que les élus devraient faire preuve d’un même amour des États-Unis.

https://www.westernjournal.com/ben-…

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