Les manifestations « pacifiques » des gazouites ont entrainé ce vendredi, 19 avril, la mort de quatre manifestants, dont un jeune de 15 ans.
Inutile de préciser que le monde entier a protesté contre cet incident, acceptant de manière déterminée l’hypocrisie et le jeu du ‘Hamas, qui, pourtant, reconnait lui-même entrainer femmes et enfants à manifester, tout en sachant pertinemment à quels risques il présente tout manifestant. Mais, au contraire, c’est l’un des gains de ce mouvement terroriste : plus Israël met à mort des enfants et des femmes (pour l’instant, on n’en compte pas parmi les victimes), plus le ‘Hamas peut crier gloire et victoire.
Non sans, toutefois, ajouter également les noms des terroristes tués lors de ces « manifestations pacifiques », en tout cas, la première semaine, prouvant qu’elles ne devaient pas être tellement pacifiques que cela, car si de tels personnages y participent, c’est qu’il y a derrière elles d’autres intentions.
Là, l’armée israélienne a fait paraître un film, montrant par diverses prises de vue la nature de ce conflit : on y voit à quoi sert la couverture de fumée obtenue en faisant brûler des pneus, afin de cacher l’action de jeunes qui s’en prennent à des éléments de sécurité, puis un commando palestinien qui arrache les poteaux destinés à maintenir la frontière, afin de permettre aux gens de s’engouffrer dans le territoire israélien et de tenter d’y mener des opérations terroristes.
L’un des éléments nouveaux utilisés par ailleurs consiste en l’emploi de cerf-volant transportant des engins incendiaires, dans le but de mettre le feu à des champs situés du côté israélien, ce qui a déjà réussi à plusieurs reprises.
Israël, de son côté, informe le public gazouite, par voie de tracts lancés du ciel, des intentions du ‘Hamas et du danger que représente le fait que des personnes s’approchent du tracé de la frontière : Israël n’hésite pas à employer tous les moyens en son pouvoir pour défendre ses frontières, comme tout autre pays au monde.
Tout cela apparait dans ce court film, et pourrait permettre de mieux comprendre la réalité sur le terrain. Mais qui cela intéresse-t-il ? Les Nations ? Passons. Les Gazouites ? Non. Nous-mêmes, peut-être…