Sinwar bout dans sa cachette : un désaccord inhabituel au sommet du Hamas

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Sinwar était furieux lorsqu’il a appris que de hauts responsables du mouvement avaient tenu des réunions au Qatar avec les émissaires du président de l’AP, Abou Mazen, le lendemain et avaient discuté de la possibilité d’établir une direction palestinienne commune.

Be’hadré ‘Harédim – Illustration : le représentant d’Israël à l’ONU présente le numéro de téléphone de Sinwar

Une crise dans les relations entre le chef du Hamas dans la bande de Gaza, Yahya Sinwar, et les hauts responsables du Hamas qui l’ont ignoré au niveau du commandement. Le commentateur Ehud Yaari a publié dans « l’édition principale » qu’après que certains hauts responsables politiques du Hamas, dont Khaled Mashal, Khalil al-Hiya et Ismail Haniyeh, se soient entretenus au Qatar avec les émissaires du président de l’Autorité palestinienne Abou Mazen concernant le lendemain de la guerre, Sinwar était en ébullition.

De hauts dirigeants politiques du Hamas ont participé à des discussions au Qatar, où les émissaires d’Abou Mazen sont venus discuter au lendemain de la guerre. Les membres du Hamas, pour leur part, ont exprimé leur désir d’établir une nouvelle direction intégrée pour le peuple palestinien déjà pendant la guerre, en coopération entre le Hamas et l’Autorité palestinienne.

Après que le chef du Hamas dans la bande de Gaza, Yahya Sinwar, ait entendu parler de ces événements depuis sa cachette dans un bunker dans la bande de Gaza, il a été indigné par ces événements et a exigé que les contacts cessent. Sinwar a lancé un appel aux hauts dirigeants, leur demandant de mettre fin aux contacts, de ne pas parler du lendemain et de ne pas engager de dialogue sur la question.

Yaari explique que le différend entre les hauts responsables illustre les deux attitudes dominantes au sommet du Hamas, certains hauts responsables pensant que l’organisation devrait commencer à se préparer pour le lendemain, tandis que d’autres, menés par Sinwar, insistent sur le fait que la bataille n’est pas pourtant perdue.

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