Incroyable mais vrai, l’Onu finance indirectement une grossière propagande anti-israélienne qui appelle au terrorisme et au remplacement d’Israël par la Palestine. Mahmoud Ass’af est une vedette adulée dans la population arabe ‘palestinienne’ et même au-delà depuis qu’il a reporté en 2013 l’équivalent de « The Voice ». Entre temps il a été nommé « ambassadeur de bonne volonté » à l’Unrwa, l’agence de l’Onu pour les « Palestiniens » exclusivement, qui perpétue le statut de réfugié et diffuse la haine antisémite et l’incitation dans les réseaux scolaires qu’elle entretient.
Mahmoud Ass’af prend son rôle très au sérieux et profite de son immense popularité, surtout auprès des jeunes, pour diffuser des messages qui n’ont pas besoin d’être interprétés et qui sont aux antipodes des principes de l’Onu : « Palestine, c’est pour toi que nous luttons, les combattants de la liberté marchent en cortège sur ta terre. Le feu jaillit et le fusil chante… ». Voilà ce que chantait récemment Mahmoud Ass’af devant un public galvanisé dans la ville de Rawabi, construite en Judée-Samarie avec l’aimable concours des gouvernements israéliens successifs. « Ôte ton keffiyeh et fais-le tourner, et laisse le fusil le saluer et le décorer », chante-t-il, et pour bien montrer que ce fusil doit servir à libérer toute la Palestine des mains des Juifs, Mahmoud Ass’af ne fait pas dans le flou : « Va à Safed, va à Tibériade, à Acre et Haïfa, et salue la mer ! Et n’oublie pas Nazareth, la forteresse arabe, qui suivra Beit Shean dans le retour de ses réfugiés ! Jérusalem est la capitale et Al-Aqsa est son drapeau ! Inch’allah, nous nous y rassemblerons ».
Lors de son concert à Rawabi, le « chanteur » a fait monter sur scène son invitée d’honneur, Latifa Abu-Hamid, ovationnée par l’assistance. Elle est la mère de six terroristes dont cinq sont emprisonnés en Israël pour avoir commis des attentats. Ses fils ont assassiné en tout vingt israéliens. De quoi être ovationnée…
Mahmoud Ass’af ne cache pas que ses chants et sa popularité constituent son « fusil » et qu’il veut pas là « maintenir vivant l’esprit de la révolution palestinienne ».
Ses chants sont devenus des « hits » dans les camps de « réfugiés » et les écoles de l’Unrwa et ils sont écoutés des dizaines de millions fois sur les réseaux sociaux. Il n’est pas exclu qu’ils influencent des passages à l’acte terroristes, comme son chant pour le « shahid ». Les enfants d’aujourd’hui boivent ses paroles et deviendront demain ce que sont les jeunes adultes d’aujourd’hui.
Et tout cela, sous le couvert et avec l’argent de l’Onu.
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