Le ministre de la Défense Galant a fait une déclaration aux médias ce soir, dans laquelle il a insisté sur la progression des combats dans le nord de la bande de Gaza et a promis que le sud de Gaza serait également traité. Il a déclaré que tant que le Hamas ne sera pas éliminé et les personnes enlevées pendant le Chabbath ne seront pas rentrées il n’y aura aucun endroit sûr à Gaza. Il a conclu ses paroles : « Avec l’aide de D’, nous vaincrons ! »
JDN – Illustration : boites aux lettres de Beéri, où sont marqués les noms des gens « disparus »
Le ministre de la Défense Yoav Galant a fait une déclaration aux médias ce mardi soir et a répondu aux questions des journalistes. Dans ses mots, Galant a déclaré : « Nous sommes dans la deuxième phase de la guerre à Gaza, nous opérons avec de nombreuses forces à l’intérieur de la ville de Gaza. Nous avons établi des lignes de fortification du nord et du sud, les lignes de fortification sont larges. Il y a des puits qui sont reliés par des tunnels. La force et la létalité auxquelles les forces ont répondu leur ont permis d’atteindre le centre-ville.
« Vous avez tous vu les soldats Golani présents au parlement de Gaza. Au nord de la bande de Gaza, le Hamas a perdu le contrôle et, en fait, nous contrôlons toute la partie supérieure et centrale de la bande de Gaza, au nord de la bande de Gaza et dans la ville de Gaza. »
Galant a également déclaré : « Pour chaque puits – plus de cinq cents que nous avons découvert – nous avons vu un lien avec une école, une mosquée, un hôpital. Des motos sont arrivées à l’hôpital de Rantisi, où étaient détenus nos otages. Il existe des centaines de lieux de ce type dans toute la ville de Gaza, Gaza est un bastion terroriste dans lequel Tsahal remplit très bien sa mission. Nous avons approuvé l’action de Tsahal. Je les ai autorisés à continuer d’avancer aujourd’hui et dans les jours à venir – pour achever les tâches conformément aux instructions du Cabinet ».
Le ministre de la Défense a promis : « Nous ramènerons les personnes enlevées dans leurs foyers et provoquerons la dissolution du Hamas. Tant sur le plan opérationnel que gouvernemental. »
Faisant référence au front nord, il a déclaré : « Nous nous concentrons sur la bande de Gaza et sur le front sud – opérant avec des forces importantes – mais nous savons combien il est important pour nous de maintenir la sécurité des habitants du nord – c’est également important. Nous sommes préparés et prêts également dans le nord et nous saurons quoi faire face à toute menace.
« Tous les quelques jours, je rencontre les familles des personnes enlevées. Les histoires sont déchirantes. Enfants, femmes, parents, parents âgés. Je pense à ces gens, à la génération des Meyasdim, des survivants de la Shoah qui ont fondé de leurs propres mains les colonies dans le sud de l’État d’Israël et qui vivent aujourd’hui une deuxième Shoah. De quel droit moral avons-nous d’arrêter les combats tant qu’ils sont retenus captifs par les animaux humains du Hamas ? », a demandé le ministre de la Défense.
À la fin de son discours, Galant a déclaré : « Le peuple d’Israël vit et le peuple d’Israël exprime tout ce qu’il veut exprimer dans cette belle manière d’agriculture – colonisation et sécurité – ils ne font qu’un. Notre devoir est de gagner cette guerre. Cela signifie que l’organisation Hamas cessera d’exister. Il existe un contrat non écrit entre le gouvernement et ses citoyens. Nous aurons confiance et vous vivrez votre vie et ferez ce qui est nécessaire. Avec l’aide de D’, nous gagnerons. »
Après sa déclaration, Galant a répondu aux questions des journalistes, dans ses réponses il a déclaré que l’existence d’une possibilité d’un accord pour la libération des personnes enlevées découle de la forte pression exercée par l’armée israélienne sur le terrain à Gaza. une fois le traitement terminé dans le nord de la bande de Gaza, Tsahal s’occupera également du sud.
On a demandé à Galant si l’affirmation répétée dans les médias selon laquelle le premier ministre avait empêché l’assassinat de l’un des hauts responsables du Hamas au début de la guerre était vraie. Le ministre de la Défense a nié ces allégations et a déclaré : « Je ne sais rien de tel ».
