L’UNRWA est le dôme de fer du ‘Hamas

14 février 2024

Par Paul Cornichon

« Shield » est un mot anglais qui est à la fois un nom et un verbe. En tant que verbe, cela signifie protéger quelque chose, et en tant que nom, cela signifie un emblème qui représente une organisation.

L’UNRWA, l’Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés palestiniens, agit et constitue le bouclier du Hamas.

En tentant d’extirper de Gaza le groupe politico-terroriste Hamas qui a commis un massacre sauvage d’Israéliens le 7 octobre, conformément à sa charte antisémite du génocide, les troupes israéliennes sont entrées et ont creusé autour des écoles, des hôpitaux et des bâtiments administratifs de l’UNRWA. Il a trouvé des preuves irréfutables que l’UNRWA fait partie de la machine de guerre du Hamas contre Israël.

Le Hamas ne se contente pas de stocker des armes dans les locaux de l’UNRWA, il installe délibérément ses centres de commandement sous les installations de l’UNRWA pour empêcher Tsahal de les bombarder. Alors qu’Israël a développé un système de défense à dôme de fer qui utilise la technologie pour abattre les roquettes du Hamas visant des civils israéliens, le Hamas utilise l’UNRWA pour protéger son infrastructure militaire à Gaza.

À New York, où le mince vernis de la centaine d’Européens de l’UNRWA cache le fait que le reste des 30 000 membres du personnel de l’UNRWA sont des Arabes palestiniens locaux, les dirigeants bien habillés de l’agence « humanitaire » défendent le Hamas auprès de ses pays donateurs volontaires. Les têtes pensantes de l’UNRWA lancent un appel aux pays rassemblés dans les salles autrefois respectées de l’ONU et tentent de détourner l’attention de la complicité et de la participation de l’UNRWA aux attaques écœurantes et sadiques contre des civils juifs innocents.

La douzaine de membres du Hamas qui ont participé à ces atrocités ont été licenciés comme quelques employés véreux . Les 3 000 enseignants du Hamas qui ont célébré le massacre sur Telegram ont été ignorés. Francesca Albanese, la rapporteuse spéciale des Nations Unies sur les territoires palestiniens occupés, a déclaré (17h35) immédiatement après le 7 octobre que « vous, Palestiniens, êtes toujours interrogés, remis en question, mal interprétés et diffamés ».

Enfin, de nombreux pays examinent les preuves évidentes et ne peuvent plus se détourner de la fragile protection accordée par l’UNRWA aux meurtriers cruels. La campagne de détournement de l’UNRWA qui tentait de toucher les cordes sensibles s’effrite, et les pays moraux ont commencé à suspendre leurs dons à l’agence qui est complice des actions génocidaires en cours contre un État membre.

Insoumis, l’UNRWA continue de faire appel directement aux donateurs individuels sur les réseaux sociaux, en espérant qu’ils ne lisent pas les informations ou ne méprisent pas les Juifs et l’État juif pour financer le front UNRWA-Hamas .

L’UNRWA n’essaie pas simplement de se défendre contre les preuves de plus en plus nombreuses de sa collaboration avec le Hamas pour que l’argent continue d’affluer vers les 30 000 employés palestiniens de l’organisation ainsi que pour que les lumières des hôpitaux et des écoles restent allumées. Alors que le monde réalise que l’UNRWA n’est pas une partie neutre, l’agence perd tous les aspects de son immunité. Ses emplacements peuvent être attaqués et bombardés et ses officiers accusés aux côtés du Hamas de crimes contre l’humanité.

L’ONU tout entière sait qu’elle est sur un navire en perdition et jette par-dessus bord les fardeaux les plus lourds (renvoyant la douzaine de meurtriers du 7 octobre) et raconte des récits sauvages et incroyables. L’UNRWA lutte pour sa survie et ne cessera de mentir hardiment et à plusieurs reprises en prétendant qu’il s’agit d’un groupe humanitaire qui, au pire, est terriblement ignorant et incompétent.

L’UNRWA agit comme un bouclier POUR le Hamas à Gaza et un bouclier POUR le Hamas aux Nations Unies. La fin du Hamas à Gaza doit s’accompagner de la fin de l’UNRWA à l’ONU.