La journée du 14 mai a répondu à l’attente : elle a été plus qu’éprouvante !
A Jérusalem, elle a été l’occasion d’une grande fête, celle de l’inauguration de l’Ambassade des Etats Unis d’Amérique en cette ville. A Gaza, elle a correspondu à des manifestations énormes et dangereuses, et à des répliques israéliennes en conséquence. Plus de 50 morts palestiniens, des centaines de blessés…
On aura dit « chéhé’hianou » à cette occasion, mais, sans poser la question sur le plan de la Halakha, il faut encore attendre pour voir si cette initiative américaine engendre une telle nouvelle phase dans l’histoire du monde, au point que l’on puisse bénir ce jour ! Pour l’instant, outre la fête en elle-même, il faut attendre pour voir si les propagandistes palestiniens ne vont pas réussir à gâcher tout cela.
Sur le champ, ils y sont parvenus : plus de 50 morts, c’est un triste bilan, qui va peser lourd dans le monde, qui, à son habitude, ne sait compter que les pauvres hères tombés sous les balles israéliennes, alors que l’armée n’a cessé de les mettre en garde, et n’a fait que défendre ses frontières contre une agression qui n’avait rien de pacifique et qui mettait évidemment le public juif de la région en un danger intense. Mais allez exiger de la part des hommes politiques et des media de se pencher sur les atrocités commises par ci et par là dans le monde, et d’oublier ce qui se passe en Terre sainte… Peine perdue.
L’armée israélienne a également « profité » de l’occasion pour s’en prendre à différents sites appartenant au ‘Hamas, afin de faire passer le message de la fermeté et de la riposte sans hésitation de la part d’Israël (ce groupe terroriste semble avoir oublié que le ministre de la Défense s’appelle Lieberman…).
La conclusion de cette journée est donc mitigée.