Les terroristes du Hamas ont publié nombre de leurs assassinats sur les réseaux sociaux, les visages et les personnes impliquées dans le massacre ont été révélés grâce à cette documentation, et ainsi on a découvert que les terroristes de l’organisation travaillaient pour l’UNRWA. Certains d’entre eux ont été identifiés lors de leur arrestation.
Be’hadré ‘Harédim
Le conseiller principal du Premier ministre Netanyahou, Mark Regev, a été interviewé par la chaîne Sky News, dont les reportages sont clairement biaisés en faveur du Hamas, et a déclaré qu’il existe des informations « documentées, claires et à toute épreuve » démontrant que 12 membres du personnel de l’UNRWA faisaient partie des membres du Hamas qui ont fait irruption en Israël le 7 octobre et massacré 1 200 personnes.
Selon lui, une grande partie des informations qui ont conduit aux accusations contre l’UNRWA ont été publiées par le Hamas sur les réseaux sociaux.
« Le Hamas a publié des posts sur les réseaux sociaux, se vantant de nombreux meurtres, afin que vous puissiez réellement voir les visages et les personnes impliquées dans leurs nombreux crimes », a déclaré Regev. Selon lui, d’autres personnes impliquées ont été identifiées après avoir été éliminées par Tsahal, et certaines d’entre elles ont été identifiées lorsqu’on leur a demandé pour qui elles travaillaient.
Regev a ajouté que l’implication de l’équipe de l’UNRWA dans les opérations du Hamas n’est « pas une aberration » et que cette enquête n’est « que la pointe de l’iceberg ».
« Ce n’était qu’un exemple », a-t-il déclaré. « Malheureusement, il existe une relation compréhensible entre l’UNRWA et le Hamas qui est très, très troublante et ne peut être écartée simplement en disant qu’il ne s’agit que de quelques pommes pourries. »
Selon lui, l’une des personnes enlevées qui est revenue en Israël en novembre a déclaré qu’elle avait été retenue captive dans la maison d’un employé de l’UNRWA pendant sa captivité.
Après la publication de cela, de nombreux pays ont annoncé qu’ils suspendaient leurs dons à l’UNRWA, le commissaire général de l’UNRWA a qualifié de « choquante » la décision des pays de suspendre leur financement à l’agence humanitaire.
Philip Lazzarini, le chef de l’organisation, a déclaré que la suspension des fonds par les pays, dont les États-Unis et le Royaume-Uni, menace le travail humanitaire à Gaza.
Il s’est joint au ministère palestinien des Affaires étrangères pour appeler les États à « reconsidérer » leurs décisions. L’organisation enquête pour savoir si un groupe de ses collaborateurs a participé aux attaques du Hamas le 7 octobre.
