Le 7 octobre, une attaque surprise, initialement planifiée par les dirigeants du Hamas, du Hezbollah et des Gardiens de la Révolution iraniens, a été contrecarrée grâce à l’intervention rapide du président Biden, révèle Muhammad Dragama, l’un des journalistes palestiniens les plus fiables. Cette attaque combinée impliquait une infiltration simultanée des forces de la bande de Gaza, du Liban et de la Syrie en Israël, accompagnée de tirs de missiles de précision sur des cibles stratégiques telles que des centrales électriques et des bases aériennes.

Les discussions sur ce plan ont eu lieu depuis 2021, mais le Hamas n’ayant pas actualisé son partenariat, l’attaque a été évitée.

Dragama affirme que l’accord entre le Hamas, le Hezbollah et l’Iran visait une victoire militaire majeure contre Israël, entraînant son retrait de la Cisjordanie. Cependant, le Hamas n’a pas communiqué le moment exact de l’attaque avec ses partenaires, ce qui a conduit à l’échec du plan.

Selon Dragama, l’intervention rapide des États-Unis après le 7 octobre a perturbé le plan de l’« Axe de la Résistance ». Le président Biden a envoyé des avertissements à l’Iran et au Hezbollah, déplaçant également des porte-avions vers la Méditerranée orientale. Lorsque Téhéran et Beyrouth ont réalisé que les États-Unis étaient au courant, le plan initial a été abandonné.

Dragama explique que le Hezbollah a ensuite opté pour une stratégie de combat à portée limitée le long de la frontière nord. Il affirme également que l’intention initiale était de proposer à Israël un cessez-le-feu de dix ans, mais cela a été proposé trop tard, le gouvernement israélien n’étant plus intéressé par de tels arrangements.

Ces révélations ont été faites sur un site d’information saoudien par Muhammad Dragama, réputé pour ses sources d’information fiables au sein du Hamas et de l’Autorité palestinienne.