Le commentateur principal des affaires arabes Zvi Yehezkéli devant les micros de Radio Kol ‘Haï : « Il y a une population ici à qui tout ce que nous leur donnons est interprété comme de la faiblesse, au Moyen-Orient, peu importe le pouvoir que vous avez, importe comment vous l’exercez »
Radio Kol ‘Haï
Suite à la situation difficile en Cisjordanie et à la montée du terrorisme dans tout le pays, Bezalel Kahn et David Hacham se sont entretenus sur « Morning Edition » avec le commentateur principal des affaires arabes Zvi Yehezkéli. Abou Mazen n’est pas un interlocuteur. Il loue les terroristes et entraine les Arabes à la guerre. « Les Américains nous ont forcés à nous asseoir avec eux hier à la conférence d’Aqaba. »
« Il y a une guerre en Judée-Samarie, et Tsahal n’agit pas en conséquence », a poursuivi Yehezkéli, « le terroriste est arrivé sur les lieux de l’attaque uniquement à cause de la « texture de la vie sur le terrain ». S’il y avait des vérifications, il n’y arriverait pas. La situation est devenue que la chose la plus sacrée est de les laisser travailler, c’est une chose très prévisible qu’après l’activité à Naplouse il y aura une autre attaque. »
« Il y a une population ici à qui tout ce que nous leur donnons est interprété comme de la faiblesse ; au Moyen-Orient, peu importe le pouvoir que vous avez, peu importe la façon dont vous l’utilisez. Israël utilise le pouvoir sans justice et avec peur, » a expliqué le commentateur principal.
« Tuer dix terroristes les touche moins que déporter une famille. Nuire à leur économie les touche beaucoup plus que tuer des terroristes, c’est ce à quoi ils sont prêts. Si vous voulez les déplacer, c’est nuire à leur économie. Nous nous comportons comme des Occidentaux, nous ne parlons pas la même langue qu’eux. »