Une enquête menée par des responsables internationaux montre qu’il existe une volonté d’investir beaucoup d’argent dans la reconstruction de la bande de Gaza, mais à deux conditions : l’accord d’Israël sur un programme clair et des changements substantiels au sein de l’Autorité palestinienne.
Be’hadré ‘Harédim – Ami Avi’haï
La question de la restauration de la bande de Gaza au lendemain du conflit est constamment en discussion et, selon un article paru dans cette actualité, l’une des conditions des pays du Golfe pour aider financièrement Gaza au lendemain de la victoire sur le Hamas est des changements significatifs dans la situation palestinienne.
Récemment, des responsables internationaux, dont les Américains, se sont tournés vers les pays du Golfe et leur ont demandé d’aider financièrement à la reconstruction de la bande de Gaza au lendemain de la chute du Hamas. La réponse de ces pays a été : ils sont prêts à apporter une aide significative, voire à aider l’Autorité palestinienne, mais sous certaines conditions.
La première condition est qu’Israël accepte un certain type de feuille de route, une sorte de plan politique concernant la question palestinienne. L’autre condition, et peut-être la plus intéressante, est l’exigence de changements significatifs que l’Autorité palestinienne devra opérer, y compris des changements de direction.
Dans le passé, les pays du Golfe ont investi massivement dans la reconstruction de Gaza après les opérations israéliennes, et ils semblent craindre que leurs investissements ne tombent à nouveau à l’eau.
Si j’étais responsable de quelque pays du Golf, je n’investirai jamais le moindre dollar pour ces sauvages, à qui on ne peut accorder aucune confiance.Leur but est la liquidation d’Israel et le terre ou le vie de leur population ne les intéressent pas.
leurs pays frères devraient plutôt les réinstaller chez eux.