La députée Galit Distal Atbaryan a déclaré : « Dans mes conversations personnelles avec Netanyahou, nous parlons uniquement de foi et de philosophie. Je pourrais écrire tout un livre basé sur ces discussions. » Elle a ajouté : « Quiconque regarde Netanyahou avec des yeux un peu moins matérialistes voit l’Éternel planer au-dessus de lui. Il n’y a aucune explication naturelle ou logique à ce qu’il traverse. »
Haredim 10
Lors d’une interview accordée ce mardi soir à Avi Mimran sur Kol Hai Radio, la députée du Likoud Galit Distal Atbaryan a affirmé que le procès du Premier ministre Benjamin Netanyahou concerne l’identité juive.
Selon elle : « À mes yeux, aussi grave que cela puisse paraître, c’est également positif. Cela montre au public la véritable nature de ce procès : qui est contre qui. Ce n’est pas une affaire économique ou communautaire, mais une affaire d’identité juive. Toute notre lutte repose là-dessus. »
Elle a ajouté : « Les orthodoxes sont ceux qui ‘en prennent le plus’, et c’est tout le sujet. Israël n’est plus une question d’Ashkénazes contre Séfarades, mais de laïcs contre orthodoxes. »
Concernant les accusations portées contre Netanyahou, elle a déclaré : « Les gens voient tout ce procès et se demandent : ‘C’est à cause de cigares que Netanyahou a reçus d’un ami il y a dix ans ? Ce n’est pas possible.’ Ils voient tout ce qui se passe autour. Le procès de Netanyahou met en lumière toute la situation actuelle en Israël. »
Elle a révélé : « Dans mes conversations personnelles avec Netanyahou, nous parlons uniquement de foi et de philosophie. Je pourrais écrire un livre entier à partir de ces discussions. Netanyahou se voit avant tout comme un Juif. Quiconque le regarde avec des yeux un peu moins matérialistes voit l’Éternel planer au-dessus de lui. Il n’y a aucune explication naturelle ou logique à ce qu’il traverse. »
Sur la situation en Syrie, elle a déclaré : « Vendredi, Netanyahou a exigé une réunion urgente sur les événements en Syrie, mais l’armée a répondu que ce n’était pas urgent et que cela pouvait attendre dimanche. Netanyahou a insisté, et effectivement, d’ici dimanche, Assad était tombé. »
Elle a souligné : « L’armée n’a rien appris du 7 octobre. »
