Dans les enregistrements publiés d’une conversation avec des journalistes orthodoxes, le général Yaniv Assor décrit les conditions de service prévues pour les recrues orthodoxes : « Il n’y aura pas de société TSH et il n’y aura pas de Sambazit, nous créerons une enceinte clôturée » • Mais il a ensuite critiqué : « Dans la presse, on ne travaille pas avec les filles ? Pas de secrétaire ? Il n’y en a pas à la caisse de santé ? »
‘Haredim 10
Le chef de l’ACA, le général Yaniv Assor (notre photo), a eu aujourd’hui (jeudi) une conversation avec des journalistes des médias orthodoxes au sujet du plan de recrutement – alors qu’en arrière-plan, Tsahal a l’intention d’envoyer 1 000 « premiers ordres » à des jeunes orthodoxes Dimanche.
Un enregistrement du chef de l’ACA a été diffusé sur ‘Khan Ha’aud’ lorsqu’il parle du recrutement attendu des orthodoxes – et déclare : « Nous allons créer des espaces pour les orthodoxes afin qu’ils n’aient pas de le défi du genre. Ils serviront uniquement avec des hommes. »
Il leur a expliqué l’un des points les plus complexes autour de la question du recrutement des orthodoxes : l’intégration dans Tsahal en termes de genre.
Selon lui, le soldat « ne servira que des hommes, il n’aura pas de femme officier des opérations, il n’aura pas de tiers et il n’aura pas d’unité TAS. Toute l’unité sera composée de garçons ».
Le chef de l’ACA a adressé une question critique aux journalistes orthodoxes avec lesquels il s’est entretenu, en réponse au journaliste de Mandi : « Je vais vous le dire un instant, Mandi. Je vous le demande : dans la société dans laquelle vous vivez, dans le système de presse, ne travaillez-vous pas avec les filles ? Pas de secrétaire ? Allez-vous à la caisse d’assurance maladie ? »
L’un des journalistes a répondu : « Nous travaillons à domicile ».
Alof Assor a répondu : « Nous allons donc essayer de créer un complexe très, très clôturé et délimité, mais attendez une seconde, je pense qu’il y a ici une question de contrôle mental. C’est ainsi que cela devrait être formulé. Parce que nous sommes partis de là, nous avons commencé à avancer à partir du besoin opérationnel ».
L’armée israélienne souligne une fois de plus qu’au-delà de la législation et des différentes directives juridiques, il existe un besoin opérationnel urgent de recruter des membres orthodoxes dans la formation combattante. La conversation du chef de l’ACA avec les journalistes orthodoxes avait pour but de transmettre ce message au secteur.
La commentatrice politique Sherry Roth s’indigne : « Comprenez-vous ? Cela commence avec élégance. Une base sans femmes, séparée, stricte, comme c’est brillant. Ensuite, écoutez le président de l’ACA qui déclare lors d’une conversation avec le forum des journalistes orthodoxes : « Dans le système journalistique, ils ne travaillent pas avec les filles ? Pas de secrétaire ? Nous allons à la caisse de santé, n’est-ce pas ? » Avez-vous compris ? Le patron de l’ACA tente, à travers les médias orthodoxes, d’éduquer ses lecteurs/internautes/auditeurs. Ne vous inquiétez pas, la caisse de santé a aussi une secrétaire et des femmes. Et puis on passe déjà au stade du « contrôle mental », vous pouvez permettre…
« Les grands d’Israël voient de loin, ce n’est pas pour rien qu’ils ont interdit tout contact avec l’armée israélienne ces jours-ci ! »
Il convient de noter que même si, selon les principaux points d’un document rédigé ces dernières semaines par la Division du personnel de Tsahal, en collaboration avec la Direction de l’intégration ‘Harédith, Tsahal garantit que dans tous les cours, depuis le moment de la formation de base et également pendant le service, l’état-major sera composé uniquement d’hommes dans un complexe désigné – dans Tsahal, on a très peur des critiques pour l’exclusion des femmes.
Selon le document, au moins pour commencer, et jusqu’à ce que Tsahal réussisse à envoyer des officiers orthodoxes suivre des cours de commandement, les commandants devront s’adapter aux soldats orthodoxes dans leur conduite personnelle. Et que se passera-t-il dans les cours de commandement ? Le document n’en parle pas.