Le chef de l’Assemblée nationale, Tza’hi Hanégbi, a évoqué l’accord sur les enlèvements et a déclaré que les offres que nous avons reçues n’étaient pas proches de ce que nous avons pu obtenir. Il a également déclaré : « Si le Hezbollah ne quitte pas la frontière, nous agirons militairement ».
Be’hadré ‘Harédim
Le président de l’Assemblée nationale, Tza’hi Hanégbi, a été interviewé ce soir (samedi soir) sur la Douzième chaîne et a déclaré à propos de l’accord sur les personnes enlevées : « Lors des premières discussions, les propositions que nous avons reçues ne se rapprochaient pas de ce que nous avions pu atteindre. »
Hangabi a ajouté : « Si nous recevons des informations sur l’emplacement de Sinwar et que nous savons qu’il est entouré d’otages israéliens, ce sera un dilemme déchirant. » Selon lui, « C’est un dilemme déchirant, mais cela signifie que nous y sommes parvenus, et si nous y sommes parvenus, c’est une grande réussite, à la fin nous devrons prendre une décision ».
Concernant la scène nord, Hanégbi a été clair : « Si le Hezbollah ne quitte pas la frontière, nous agirons militairement. Nous avons pris 17 ans de retard dans la résolution du problème du Hamas parce que nous avons évité de payer le prix que nous payons actuellement. »
