Une découverte scientifique révolutionnaire suggère que la Grande Pyramide de Gizeh, construite il y a 4 600 ans, pourrait avoir servi de centrale énergétique antique. Une nouvelle étude révèle sa capacité à concentrer et stocker l’énergie électromagnétique grâce à son architecture unique. Les chercheurs travaillent déjà sur l’application de ces résultats dans le développement de technologies futuristes.
Lipa Ginsberger
La pyramide, un amplificateur d’énergie ?
Selon une nouvelle étude scientifique, la Grande Pyramide de Gizeh n’aurait peut-être pas été uniquement un tombeau pharaonique, mais aussi une centrale énergétique avancée.
Des scientifiques ont bombardé la pyramide de radiations électromagnétiques, une forme d’ondes voyageant dans l’univers. Selon le Daily Mail, à leur grande surprise, les ondes se sont concentrées et amplifiées dans des salles spécifiques et à la base de la pyramide, suggérant que l’ensemble du monument fonctionne comme un amplificateur d’énergie naturel.
Un ancien « piège à énergie » ?
Les chercheurs ont découvert que l’énergie électromagnétique se concentrait principalement dans trois espaces clés :
🔹 La chambre du roi
🔹 La chambre de la reine
🔹 Une chambre inachevée sous la pyramide
Ces résultats suggèrent que la pyramide aurait pu servir de résonateur géant, capturant les ondes électromagnétiques – une technologie avancée que l’on retrouve aujourd’hui uniquement dans les laboratoires scientifiques modernes.
Christopher Dunn, ingénieur en aéronautique et expert des pyramides, a déclaré : « Il est possible que la pyramide n’ait pas été construite uniquement à des fins rituelles, mais ait également servi de générateur d’énergie propre. »
Une réaction chimique pour produire de l’hydrogène ?
Invité en avril 2024 dans le podcast The Joe Rogan Experience, Christopher Dunn a présenté une théorie fascinante. Il suggère que le puits à l’intérieur de la pyramide ressemble à un guide d’ondes utilisé pour transporter des micro-ondes et de l’énergie électromagnétique.
« Dans la théorie de la ‘centrale énergétique de Gizeh’, deux substances chimiques auraient été introduites dans une chambre, se seraient mélangées et auraient chauffé jusqu’à produire de l’hydrogène – une source d’énergie propre. »
Les anciens Égyptiens étaient-ils plus avancés que nous ne le pensions ?
Les chercheurs restent perplexes quant à la finalité de cette production d’énergie, mais leurs résultats remettent en question nos connaissances sur la technologie des Égyptiens anciens.
Selon Dunn, qui a étudié les pyramides pendant plus de 30 ans, les constructeurs antiques auraient dû utiliser des outils avancés, des techniques de construction modernes et peut-être même des machines lourdes – malgré l’absence de preuves archéologiques directes.
Une percée inspirée par l’Antiquité
L’étude, menée en 2018 à l’Université ITMO en Russie, s’est concentrée sur l’interaction entre la pyramide et des ondes électromagnétiques proches des fréquences radio. Les chercheurs ont démontré que la chambre du Roi, située au cœur de la pyramide, accumulait et dirigeait l’énergie avec une efficacité impressionnante.
Aujourd’hui, les scientifiques russes espèrent appliquer ces découvertes au développement de nanotechnologies, capables de répliquer l’effet observé à Gizeh.
Des applications potentielles pourraient inclure :
✔️ Des capteurs avancés
✔️ Des cellules solaires ultra-performantes
✔️ Une nouvelle approche de la capture et de la gestion de l’énergie
Ainsi, cette découverte vieille de plusieurs millénaires pourrait ouvrir la voie à des innovations révolutionnaires au XXIe siècle.
