Roosevelt n’a pas été jugé sur le désastre de Pearl Harbor, mais sur la capitulation du Japon.
Churchill n’a pas été mesuré par le nombre de morts pendant le Blitz sur Londres, mais par sa ténacité, le débarquement en Normandie et la libération de l’Europe.
Staline n’est pas entré dans l’histoire pour l’échec retentissant du pacte Ribbentrop-Molotov ou pour l’effondrement face à l’invasion nazie, mais pour sa victoire à Stalingrad et la conquête de Berlin.
La vérité est la suivante : prendre la responsabilité d’un échec ou d’une catastrophe ne signifie pas limoger le dirigeant, mais fuir la responsabilité. Une véritable responsabilité consiste à se ressaisir, apprendre des erreurs, remporter de grandes victoires et changer le cours de l’histoire.
Netanyahou a laissé les fonctionnaires le guider pendant des années avec une vision progressiste de « renforcer les modérés et exercer des pressions sur les extrémistes ».
Le matin de Sim’hath Tora 5784, il a pris l’entière responsabilité, et depuis, il change l’histoire, au sens propre du terme.
Avec une détermination sans égale, en résistant à toutes les pressions, en ignorant complètement le bruit ambiant, qu’il vienne de l’intérieur ou de l’extérieur, avec un courage israélien, un leadership et un sens de l’État, Netanyahou a démantelé l’axe du mal. Depuis plus d’un an, il abat les tentacules de la pieuvre, une à une.
Parfois, il semble hésitant, parfois il attend plus longtemps que nous ne l’aimerions, parfois la tactique est floue, mais à la fin, encore et encore, la vérité éclate dans toute sa splendeur : Netanyahou a décidé que le peuple d’Israël, sous sa direction, ne terminera pas cette guerre tant que chaque pierre du bâtiment iranien, qui menaçait de nous détruire, ne sera pas démantelée.
Aujourd’hui, il ne reste que la tête de la pieuvre. Elle est exposée, affaiblie et plus vulnérable que jamais. Bonne chance, Netanyahou, dans ce dernier round décisif, le peuple est avec toi !
Et juste après, il faudra nettoyer l’intérieur, débarrasser la maison de tous les agents du changement et retirer aux organisations progressistes les bastions de pouvoir dans lesquels elles se retranchent. Cela fait aussi partie intégrante de la prise de responsabilité, et nous serons à tes côtés pour cela également.
Yairnoriel
Tout à fait d’accord, Rav Henri Kahn.
Netanyahou est un homme, avec ses faiblesses. C’est aussi un « mensch » et un véritable homme d’état.
Réparera-t-l la faute de Moshé Dayan et de Golda Meir d’avoir laissé le Mont du Temple, Gaza et la Judée-Samarie aux arabes ?