Au sommet du Hamas, on affirme : « Sinvar souffre d’une pneumonie qui s’est compliquée »

0
73

Un pays arabe proche du Hamas a appelé l’organisation terroriste à arrêter la guerre. • Des arabes de haut niveau : « Vous n’avez rien obtenu, de quel genre de victoire parlez-vous ? » • Le Hamas a répondu à l’appel en faveur d’un cessez-le-feu : « Notre situation est mauvaise, il y a une pénurie de munitions » • Israël estime toujours que Sinwar reste clandestin à Khan Yunes.

Haredim 10

Un pays arabe proche du Hamas a appelé l’organisation terroriste au cessez-le-feu et a exigé la fin de la guerre. Cela a été rapporté ce soir (mardi) par le journaliste Ohad Hamo dans News 12.

Selon le rapport, des communications ont eu lieu ces derniers jours entre de hauts responsables du pays arabe proche du Hamas et le Hamas à Gaza.

Les responsables arabes, selon le rapport, ont déclaré au Hamas : « Vous n’avez rien obtenu, de quel genre de victoire parlez-vous ? » tentant de faire pression sur le Hamas pour qu’il arrête la guerre.

Les hauts responsables ont appelé l’organisation terroriste à promouvoir un cessez-le-feu, et le Hamas a répondu : « Notre situation est mauvaise, il y a une pénurie de munitions et la désintégration des cadres militaires ».

En outre, dans le contexte des informations selon lesquelles Haya Sinwar serait déconnectée, les responsables arabes ont rapporté qu’ils avaient entendu de la part des dirigeants du Hamas que Sinwar « souffrait d’une pneumonie qui s’est compliquée ».

En Israël, on estime toujours que Sinwar reste sous terre dans la région de Khan Yunes et que Tsahal opère donc dans cette zone.

Dans le contexte d’une réunion en Egypte de hauts responsables du Hamas dirigés par Ismail Haniyeh avec de hauts responsables égyptiens, News 12 a fait état ce soir de « contacts pour un autre sommet à Paris ».

Cependant, des sources en Israël ont affirmé que l’organisation terroriste renforce ses positions et que la communication avec Sinwar est « comme traverser la mer Rouge », tandis que des sources politiques estiment que le facteur temps et l’approche du Ramadan créent une opportunité dans les négociations.

Aucun commentaire

Laisser un commentaire