Au plus fort des négociations : le « sionisme religieux » se divise

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Le comité d’organisation a approuvé la scission du parti « sionisme religieux » en trois factions distinctes, conformément à l’accord établi entre elles avant même les élections. Cette décision affaiblira le pouvoir de négociation de Smotrich – qui vise à obtenir un poste de direction – face au Likoud.

Be’hadré ‘Harédim – Ari Kalman

Le comité de réglementation dirigé par le député Yoav Kish a approuvé aujourd’hui (dimanche) la demande de scission dans la faction « sioniste religieuse », et à partir de maintenant, le parti qui a reçu 14 mandats opérera en trois factions distinctes.

Selon la division, la faction sioniste religieuse dirigée par Bezalel Smotrich fonctionnera avec sept membres de la Knesset, Otzma Yehudit d’Itamar Ben Gvir fonctionnera comme une faction avec six représentants et la faction Noam d’Avi Maoz fonctionnera avec un représentant unique.

La scission a été faite conformément à l’accord préétabli, mais la scission intervenue au plus fort des négociations rend difficile les tentatives de négociation de Bezalel Smotrich qui exige que Netanyahou lui accorde un poste important. A présent, le parti le plus important après le Likoud est Shass.

La décision a été adoptée à l’unanimité avec le soutien de neuf membres de la Knesset. Le député Avi Maoz a déclaré avant le vote : « Nous signons un accord qui a été présenté au président de la commission électorale de la Knesset avant les élections. Selon l’accord, les factions pourront se diviser immédiatement après les élections. Ma demande est à la lumière de l’accord antérieur. »

Le député Yitzhak Wasserlauf a déclaré que « la demande de division est conforme à la conclusion d’avant les élections. » Le président du comité, le député Yoav Kish, a déclaré que « nous nous joignons tous à la demande d’accélérer la formation du nouveau gouvernement. Il est important que les négociations de coalition se terminent le plus tôt possible. Tout le monde doit comprendre l’ampleur du temps, et nous voyons quel sera le prix à payer si nous ne parvenons pas rapidement à un accord. »

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