Une source politique prévient que « si, dans le cadre de l’accord, les États-Unis garantissent en notre nom, face à l’Égypte et à la communauté internationale, que la guerre ne reprendra pas, cela signifiera que nous aurons une confrontation politique avec Washington afin d’aller plus loin » et de combattre à Rafah » | Smotrich appelle à entrer dans Rafah maintenant et à détruire l’organisation terroriste Hamas : « La demande nazie de Sinwar n’est pas de « cesser la guerre » mais d’une « alliance de défense » entre les Etats-Unis et le Hamas ».
Kikar haChabbath – David HaCohen
Les médias arabes ont rapporté que pour éviter l’échec des négociations sur l’accord d’otages, en raison des déclarations d’Israël selon lesquelles il reprendrait la guerre contre l’organisation terroriste Hamas après la fin de l’accord, les États-Unis et l’Égypte ont offert des garanties.
Selon les rapports, les États-Unis se sont engagés à agir pour empêcher la poursuite de la guerre et arrêter Israël.
Le journaliste Ariel Kahana cite un responsable politique qui a déclaré après la réunion du cabinet d’hier soir que « les 24 heures sont cruciales pour l’avenir de la guerre et du pays ». Il a toutefois averti que dans le cadre de l’accord en cours de discussion, Israël entre dans un piège politique qui entraînera sa défaite.
Le contexte est la volonté apparente des États-Unis, comme cela a été publié dans les médias arabes, de donner au Hamas des garanties qu’après la fin de l’accord, Israël ne reprendra pas les combats. Le Cabinet de guerre israélien déclare qu’il ne sera pas d’accord de s’engager à mettre fin à la guerre et que, selon Netanyahu, « l’action à Rafah sera avec accord ou sans ».
Cependant, la source politique prévient qu’à partir du moment où les États-Unis feront une telle promesse au Hamas, « Israël se lancera dans une trajectoire de collision avec les États-Unis comme jamais auparavant. Nous avons déjà du mal à résister aux pressions américaines de l’accord que les États-Unis promettent en notre nom, à l’Égypte et à la communauté internationale. Si la guerre ne reprend pas, cela signifiera que nous aurons une confrontation politique avec Washington pour aller au combat à Rafah. Quiconque a des yeux dans la tête voit ça. »
Le président du Sionisme religieux et le ministre des Finances Bezalel Smotrich : « Assez de lessive de mots ! Tout dirigeant israélien qui accepte cela en signant ou en fermant les yeux restera à jamais dans les mémoires pour avoir sciemment négligé la sécurité des citoyens d’Israël. Lors du prochain massacre, à D’ ne plaise, personne ne pourra dire « Je n’avais pas à savoir ».
« C’est Rafiah maintenant et immédiatement. De toutes ses forces. Jusqu’à la destruction du Hamas. »