Je tombe, à la bibliothèque, sur un numéro récent de la collection « L’histoire ». Il s’intitule « Les Palestiniens ».
Abondamment illustré, il comporte 125 pages de propagande unidirectionnelle, présentant les prétendus « palestiniens » comme les victimes innocentes d’un pouvoir juif conquérant, puissant et malveillant.
(Pourquoi « les prétendus » palestiniens ? On va le voir plus bas….).
Le message de ce numéro est clair : il s’adresse d’abord aux prétendus « palestiniens » en les encourageant dans le terrorisme meurtrier, « au nom de leur bon droit bafoué par les méchants Juifs ».
Il s’adresse au reste du monde, pour justifier le terrorisme meurtrier des « palestiniens », au nom du « bon droit », et lui procurer soutien financier et diplomatique.
Le résultat en sera une perpétuation d’un conflit sanglant, stimulé par la propagande bienpensante (« La défense des innocents contre les méchants »), depuis le confort et la sécurité des bureaux parisiens.
Aucune mention de la dhimmitude
Un narratif sélectif et partiel y fait abstraction de l’histoire ancienne des Juifs du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord, Juifs soumis depuis la création de l’Islam au 7ème siècle, au statut de « Dhimmis ».
La dhimmitude injuste et humiliante est imposée aux « gens du Livre », c’est-à-dire aux chrétiens et aux Juifs, tant qu’ils résistent à la conversion à l’Islam.
Elle n’est pas évoquée une seule fois dans cet épais dossier tendancieux, alors qu’elle a victimisé depuis le 7ème siècle, les chrétiens, qui pouvaient, eux, fuir et se réfugier dans le vaste monde chrétien, mais surtout les Juifs qui restaient prisonniers, sans échappatoire possible, de leurs « maîtres » musulmans.
Les Juifs ont été les premières victimes de l’Islam, ayant subi un véritable génocide des mains du « prophète » et de ses sbires, inauguré dans la ville juive de Yathrib (connue aujourd’hui comme Médine) et ensuite poursuivis dans toutes les nombreuses communautés juives de la péninsule arabique, totalement effacées.
Lors de la grande vague de conquête arabe, par le sabre, de l’Inde au Maroc, les Juifs qui n’étaient pas massacrés aussitôt étaient soumis au statut de « Dhimmis », véritable apartheid, avec soumission imposée brutalement, humiliante et cruelle.
La doctrine islamique prévoit que la totalité de la planète devra finalement être soumise, de gré ou de force, par la violence du Djihad, à la souveraineté musulmane, avec imposition de la dhimmitude sur les chrétiens et les Juifs, jusqu’à leur conversion.
Tout ce qui n’est pas encore « Dar Al Islam » reste « Dar El Harb », c’est à dire Maison de la Guerre.
Les Juifs, eux, ont toujours espéré vivre en paix, en bons voisins, avec les non-juifs.
Un million de Juifs ont été chassés des pays arabes au 20ème siècle, par le retour de la dhimmitude, après la fin du protectorat français et l’accession à l’indépendance de ces pays.
Ils ont trouvé refuge en Israël, où se situent leurs racines plurimillénaires.
Pratiquant un simple prosélytisme d’accueil, les Juifs n’ont jamais voulu, contrairement aux chrétiens et aux musulmans, contraindre personne.
Et d’ailleurs, on constate que l’Etat juif d’Israël est le seul état du Moyen-Orient où les minorités, chrétienne, musulmane, druze, etc. sont libres, en sécurité et en croissance démographique constante. (L’absence totalitaire de toute diversité dans les pays arabes, et la soumission abjecte des femmes, contribue certainement au marasme, au sous-développement culturel, économique, technique, industriel et social dont souffrent tous ces pays…).
Les Juifs ont toujours accepté le partage et la coexistence pacifique, et ils étaient prêts à se satisfaire d’un territoire exigu, un des plus petits pays au monde.
Ce sont les islamistes, qui contrôlent de par le monde d’immenses territoires, soit 22 pays arabes et 57 pays islamiques, qui prétendent interdire l’indépendance et la souveraineté du minuscule Etat juif, obstacle à leur projet Djihadiste totalitaire.
Les dhimmis juifs ne doivent pas accéder à l’indépendance nationale, et pour l’empêcher, tous les moyens sont bons.
Les arabes ont tenté plusieurs attaques en coalition, en 48, en 67, puis en 73, mais ils échouent à effacer par les armes cette indépendance juive qui les chagrine tant.
Le Palestinisme pousse au crime
Les Juifs de Judée, Samarie et Jérusalem avaient été rebaptisés « palestiniens » par l’occupant romain, après l’échec et l’écrasement de la révolte de Bar Kokhba (132/136).
La région avait longtemps conservé la dénomination de « Palestine » avant d’être incorporée dans un Empire Ottoman désertifié par la corruption effrénée.
Mais après l’échec des aventures guerrières arabes contre Israël, le KGB, les milieux « anticapitalistes » gauchisants et l’Union Européenne vont appuyer frénétiquement l’enfumage « palestiniste », entreprise terroriste et pseudo-diplomatique qui instrumentalise des populations arabes venues d’Egypte, du Liban ou de Syrie pour bénéficier d’emplois offerts par les entrepreneurs, agriculteurs ou industriels juifs, les affuble du nom usurpé de « Palestiniens », les subventionne grassement pour y favoriser une croissance démographique artificielle, avec enseignement de la haine des Juifs et d’Israël dès la plus petite enfance, le but de la vie étant de mourir en tuant des Juifs, ce qui ouvre les portes du paradis d’Allah où vous attendent 70 vierges, etc.
Cet enseignement de la haine et du meurtre porte au pouvoir le Hamas, qui exige la disparition pure et simple d’Israël, dans sa charte même, et qui déchaîna, le 7 octobre 2023, un pogrom d’une cruauté inimaginable contre hommes, femmes et enfants juifs.
Le Palestinisme est donc un avatar pur et simple de cette fameuse « Solution Finale » de génocide du peuple juif, concocté par Hitler et son allié le « Grand Mufti » El Hadj Amine Al Husseini.
Et c’est cette « Solution Finale » de génocide du peuple juif que soutiennent en fait, par leur « Palestinisme » enfiévré et qui pousse au crime, menteur par omission de mention de la dhimmitude djihadiste, moteur de toute la violence, la collection « L’histoire », des feuilles comme Le Monde, Libération, ou des organes de presse et de télévision publics comme France Info, etc..
Que fait le CSA ?
Le CSA devrait interdire le « Palestinisme » qui fait couler le sang au Moyen-Orient et met les Juifs français en danger direct, au lieu de s’en prendre à une honorable chaine de télévision conservatrice comme C.News. |