Israël se bat seul, jusqu’à quand ?

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Par Dr Majid Rafizadeh

Avec l’élimination cette semaine du terroriste Yahya Sinwar, de combien de terroristes les plus cruels du monde Israël a-t-il libéré le monde en quelques semaines ? Le petit Israël montre au monde comment gagner à nouveau – et par la même occasion, sauver la civilisation et un mode de vie libre.

Pour ceux d’entre nous qui ont la chance de vivre dans une société libre plutôt que dans une société de peur, comme les appelle l’ancien dissident soviétique Natan Sharansky, laissons Israël continuer à gagner !

La guerre sur plusieurs fronts qu’Israël mène actuellement contre le régime iranien et ses nombreux mandataires terroristes est une bataille que l’Occident aurait dû mener – et ce depuis longtemps. Pourtant, depuis la présidence de Barack Obama, l’administration Biden-Harris et les gouvernements européens, plutôt que de faire face aux menaces présentées par l’Iran, l’ont apaisé et financé. Les dirigeants occidentaux ont opté pour la voie de l’inaction, de l’apaisement, en ignorant les sanctions et en évitant les sanctions secondaires – ce qui signifie que les pays qui font des affaires avec l’Iran ne peuvent pas faire d’affaires avec les États-Unis – et en fournissant des milliards de dollars aux terroristes pour leur permettre d’attaquer Israël, les troupes américaines et pour permettre à l’Iran de mettre la dernière main à son programme d’armement.

Le Plan d’action global commun (JCPOA) d’Obama, totalement illégitime mais tant vanté, qui, selon lui , « a permis d’obtenir un accord détaillé interdisant de manière permanente à l’Iran d’obtenir une arme nucléaire. Il coupe toutes les voies d’accès de l’Iran à la bombe », n’était pas tel. Cette déclaration était une tromperie, tout comme « Si vous aimez votre médecin, vous pouvez garder votre médecin » l’était – basée sur la « stupidité de l’électeur américain », comme l’ a déclaré son associé Jonathan Gruber. Le problème avec le JCPOA était, bien sûr, ses « clauses de caducité ». Elles assuraient à l’Iran qu’il pourrait légitimement avoir autant d’armes nucléaires qu’il pourrait en produire en quelques années seulement.

Cette approche, qui semble avoir pour but d’éviter la confrontation, n’a fait que renforcer l’Iran et ses réseaux terroristes en leur permettant d’étendre leur influence et leurs agressions sans contrôle. L’Occident a en effet nourri le crocodile dans l’espoir qu’il le mangera en dernier, comme l’a noté Winston Churchill. C’est une stratégie suicidaire – mais c’est exactement ce que l’Occident a fait. Pour éviter d’affronter la menace, l’Occident semble avoir choisi, au lieu de cela, d’essayer de corrompre ses ennemis pour qu’ils reportent leur assaut, probablement dans l’espoir qu’il tombera sous le regard de quelqu’un d’autre.

Pendant ce temps, l’Iran et d’autres pays qui ne veulent apparemment que du mal à l’Amérique ont utilisé l’argent des pots-de-vin pour accroître la menace. L’Occident a laissé Israël se battre dans une guerre qui n’aurait jamais dû être menée par lui seul. Les pays occidentaux, par des erreurs de calcul diplomatiques, par besoin de votes, par lâcheté et par peur du conflit, ont essentiellement externalisé leur responsabilité de maintenir la paix mondiale à Israël, observant depuis la ligne de touche l’escalade du conflit.

Au lieu de cela, l’Europe , les Nations Unies et leurs institutions ont tenté de saper Israël à chaque confrontation .

Israël, plus petit que le New Jersey, doit faire face au principal État soutenant le terrorisme, l’Iran, ainsi qu’aux agents et aux hommes armés que le régime iranien utilise pour se protéger des représailles. L’influence de l’Iran s’étend bien au-delà de ses frontières. Ses empreintes sont visibles dans les actes de terrorisme commis partout dans le monde, de l’Argentine à l’Europe, en passant par la tentative d’assassinat d’un Saoudien, d’un dissident et de chefs d’État américains sur le sol américain.

Sur le plan intérieur, le régime iranien réprime systématiquement toute opposition et commet des violations des droits de l’homme à grande échelle, allant de l’emprisonnement et de l’exécution d’opposants politiques, y compris des enfants, à la répression violente de manifestations. Ses activités terroristes à l’étranger comprennent le financement et l’armement de milices, de groupes rebelles et d’organisations terroristes au Moyen-Orient, en Afrique et en Amérique du Sud. L’échec de l’Occident à neutraliser ces menaces a donné à l’Iran l’espace et le financement nécessaires pour prospérer, tout en abandonnant Israël à affronter seul ce régime monstrueux. Au lieu d’aider Israël à vaincre le terrorisme iranien et ses violations massives des droits de l’homme, ou même simplement de le remercier, l’Occident fait tout ce qu’il peut pour diffamer, saboter et attaquer Israël.

Pendant ce temps, l’Iran – qui serait en train de finaliser la production de ce que le regretté sénateur Daniel Patrick Moynihan appelait il y a 26 ans « une bombe islamique » – arme la Russie dans sa guerre contre l’Ukraine et arme des groupes terroristes dans des pays comme l’Irak, le Liban, la Syrie et le Yémen, où son influence perpétue les conflits et le chaos, et est profondément liée à d’autres ennemis de l’Occident – ​​la Russie, la Chine et la Corée du Nord.

Ce qui est peut-être encore plus inquiétant, ce sont les alliances militaires naissantes de l’Iran avec des régimes autoritaires d’Amérique latine, l’arrière-cour des États-Unis. Ces alliances représentent une escalade dangereuse dans la stratégie de l’Iran visant à étendre son influence dans l’hémisphère occidental, bien au-delà du Moyen-Orient. En affrontant l’Iran, Israël fait plus que se défendre : il affronte un réseau mondial d’acteurs malveillants qui menacent la paix et la stabilité dans le monde entier.

Les principaux adversaires d’Israël sont les mandataires de l’Iran, comme le Hezbollah, une organisation terroriste bien armée et bien financée qui agit depuis longtemps comme le bras armé de l’Iran au Liban. Israël doit également lutter contre une autre organisation terroriste soutenue par l’Iran, le Hamas, dont l’histoire de violence et de terrorisme est longue et brutale, caractérisée par des attentats suicides, des attaques à la roquette et des attaques contre des civils israéliens.

Le 7 octobre 2023, lorsque le Hamas a lancé un jihad terroriste contre Israël, il a assassiné 1 200 personnes, dont des nourrissons, torturé, décapité, violé et brûlé vif de nombreuses victimes, et enlevé plus de 250 autres. Cette atrocité n’était qu’un des nombreux actes horribles commis par le Hamas. L’Autorité palestinienne et les groupes terroristes semblent avoir supposé, avec l’encouragement des États-Unis, qu’ils pourraient reprendre le contrôle de la bande de Gaza afin que celle-ci puisse continuer à attaquer le peuple israélien.

Outre le Hezbollah et le Hamas, Israël combat au Yémen le groupe rebelle houthi soutenu par l’Iran, que l’administration Biden-Harris a retiré de la liste des organisations terroristes étrangères moins d’un mois après son entrée en fonction. En guise de remerciement, les Houthis ont attaqué non seulement Israël, mais aussi l’Arabie saoudite, Abou Dhabi et les troupes américaines dans la région. Les Houthis ont également déstabilisé la mer Rouge et bloqué pratiquement toute navigation par le canal de Suez. Les navires sont désormais obligés de contourner le continent africain, ce qui augmente le coût de chaque voyage aller-retour d’un million de dollars seulement pour le carburant. Malgré les violations du droit international commises par les Houthis et leur influence dévastatrice dans toute la région, la communauté internationale n’a pris aucune mesure sérieuse à leur encontre.

Il incombe à l’Occident de faire face à ces forces, mais c’est Israël qui fait le travail. Les puissances occidentales, qui devraient être en première ligne dans la lutte contre le terrorisme, ont abdiqué leur rôle, laissant Israël en porter le fardeau. Ce combat ne devrait pas être le seul d’Israël, mais celui que l’Occident aurait dû mener avec toute sa force. Israël intervient là où d’autres ont hésité ou même permis son agression, ce qui témoigne de l’incapacité de l’Occident à assumer ses propres responsabilités.

Si l’Occident a trop peur ou hésite à s’engager directement dans la lutte contre l’injustice, le terrorisme et la tyrannie, le moins qu’il puisse faire est de se tenir aux côtés d’Israël et de cesser de tenter de le saboter à tout bout de champ. Le soutien ne doit pas se limiter aux mots, mais inclure un soutien politique, diplomatique et militaire. En ne soutenant pas pleinement Israël, l’Occident donne le pouvoir précisément aux pays qui œuvrent à réviser l’ordre mondial – d’un ordre de liberté à un ordre de tyrannie – en le supplantant.

Israël porte seul le poids de plusieurs fronts dans la bataille contre le terrorisme. Le monde libre, avec ses vastes ressources et son influence, actuellement menacées sur au moins trois théâtres d’activité – l’Europe de l’Est, le Moyen-Orient et l’Indo-Pacifique – devrait être en première ligne de ce combat. Au lieu de cela, Israël est laissé à lui-même pour faire le travail que les démocraties occidentales auraient dû entreprendre depuis longtemps. C’est une réflexion grotesque sur la communauté internationale, en particulier sur l’administration Biden-Harris et l’Union européenne, de ne pas offrir un soutien sans équivoque. La lutte d’Israël n’est pas seulement pour sa propre survie, mais pour la sécurité et la paix du monde libre. L’Occident, par sa passivité, trahit non seulement Israël, mais compromet sa propre survie.

Le Dr Majid Rafizadeh est un stratège et conseiller d’entreprise, diplômé de Harvard, politologue, auteur de plusieurs ouvrages sur l’islam et la politique étrangère des États-Unis.

JForum.fr avec Kountrass
source Gatestone Institute

Sur la photo : missile Sayad 4-B lors d’un défilé militaire à Téhéran, en Iran, le 17 avril 2024. (Photo par Atta Kenare/AFP via Getty Images)

6 Commentaires

  1. Vous avez une vision naïve de la situation, cela, car vous refusez d’admettre que des choses anormales, ou plutôt ayant échappé à certains contrôle et dès 06:25, le 7 octobre 2023.
    Ce matin, plusieurs imprévus ont fait totalement déraper un plan initial convenu entre la gauche anti-Bibi et sinwar, la suite n’est que la conséquence de ce dérapage initial.

    • Vous avez peut-être raison, mais si vous voulez nous en convaincre, il faudrait être plus explicite… Comment cela, ce que vous dites là est totalement incompréhensible.

      • Evidement « pas compréhensible », vous vous êtes sans doute fait injecté 3 ou 4 fois par la bande à pfizer et vous ne faites que répéter ce que votre presse martèle en choeur.

        Mais vous avez, cher Rav, et c’est le principal, vous ouvrez la voie de la discussion !

        Je vais vous postez un commentaire déjà posté

        Hag Souccot Sameah

  2. Nous sommes avec ces merdes dans une guerre asymétrique, il est totalement suicidaire et absurde de vouloir se battre de manière conventionnelle avec des terroristes. Même si Israel a développé une technologie et contrôle une aviation hors du commun, vouloir se battre de manière conventionnelle avec des armes conventionnelle contre des spécialistes des coups bas qui n’en n’ont rien à faire du nombre de morts dans leur camp est suicidaire, eux ne demandent qu’à avoir des morts dans leurs rangs, ils ne font que provoquer la mort des civiles qui les entourent. Ce qui est fou, c’est 99,9999% de la population israélienne soutient cette thèse, mais que 0,0001% opte pour adopter exactement une «  »stratégie » » symétriquement opposée. Non seulement les chiites ont les moyens humains pour ce genre d’aventure diabolique construite sur sacrificie humain, la preuve, ils ont convertis la moitié de la planète, principalement et avec ce genre de techniques consistant à élever le rôle du martyr au sommet de leur rituel hiérarchique, il y a 1,7 milliards de musulmans, maintenant si en plus, ce sont eux qui imposent à Israel leur modus operandi, même si ils perdent 1000 combattants musulmans contre 1 soldat israélien, ils finiront par gagner, c’est leur tactique et ça ne fait aucun doute qu’ils ne peuvent que gagner, ce type de comptabilité ne va jamais pas les arrêter. L’islam cultive le martyr et voue son culte à la mort, toute leur idéologie repose entièrement et uniquement sur des mécanismes eschatologiques, il ne s’agit ultimement que d’une stratégie de conquête dans laquelle la soumission totale des individus, cette soumission représente l’alpha et l’oméga d’une élite vis-à-vis de ses populations. Cette mécanique correspond à certaines fonctions existant dans l’humain, procure une certaine jouissance pour certains privilégiés adeptes de cette idéologie, de l’autre côté, certainement une paterne masochiste, confère également aux victimes de ce système, un culte de l’ultime espoir d’une satisfaction ne trouvant comme réponse que le sacrifice de soi. Contrairement au christianisme, l’islam ne se cache pas de cette modélisation ni d’ailleurs de sa volonté de conquérir la totalité de l’humanité, personne ne peut accuser l’islam de vouloir dissimuler son dogmatisme totalitaire démographique, l’islam tolère l’adversité et la contradiction contrairement au christianisme elle le fait avec ses dogmes et uniquement à condition d’exercer une domination démographique. Les chiites ayant toujours été en minorité au sein de l’islam, ont particulièrement orienté leur domination par le truchement de la cruauté par la ruse, les chiites obéissent à ordre hiérarchique cléricale, cela contrairement aux sunnites. Il y a plusieurs courants chiites, perse, arabe, turkmène, ottoman etc., bien que tous chiites, l’histoire a démontré qu’ils ne s’épargnent pas entre « frères » chiites, bien au contraire, les guerres inter-ethniques chiites révèlent que les apparences sont toujours trompeuses, comme les perses envers les chiites libanais et les chiites libanais envers les sunnites libanais, il faut savoir que de nombreux sunnites libanais ont adhérés au hizbollah, ce sont les premières lignes, la chair à canon, en réalité, autant les chiites perses n’arrivent pas à cacher leur satisfaction lorsque des chiites arabes libanais sont trucidés que les arabes chiites libanais se délectent lorsque des sunnites meurent pour eux. A se demander si les ayatollahs ne cherchent pas à tuer des sunnites ou des chiites arabes en les ayant endoctrinés afin de se faire tuer par Tsahal, les ayatollahs ne doivent pas faire de distinction entre les pertes du hamas, spécialement, les pertes chiites arabes et les pertes israéliennes, je les soupçonne même de vouloir avant tout exercer leur domination, leur hégémonie sur les chiites arabes et sunnites qu’envers les juifs d’Israel, Israel peut très bien ne représenter qu’un alibi afin de soumettre leurs frères au nom de leur « supériorité » chiite perse. En ce qui me concerne, je suis convaincu que les ayatollahs prioritarisent leur hégémonie sur les chiites arabes et sur les sunnites qu’envers Israel. Cela veut dire que dans une guerre opposant Israel et l’ensemble des pions mis en place par les mollahs, Israel ne peut pas se permettre de se soumettre au fatalisme des combats sur le terrain tactique des mollahs. Pour les ayatollahs, plus il y aura de morts dans « leur camp », plus ils marqueront des points, à armes égales, Israel ne tiendra pas, impossible. Nos généraux le savent, ils l’ont déjà expérimenté, notamment en 2006. En 1982, le hizbollah n’existait pas, il s’est développé à une vitesse olympique, cela grâce la présence syrienne au Liban, l’un des moteur était que les chiites, bien que nombreux, appartenaient depuis des siècle à une sous classe au sein du Liban, pour hafez, c’était un jeu d’enfant d’en faire des vengeurs, il suffisait de les armer, les assads sont alaouites, donc chiites, mais ennemis héréditaires des chiites libanais, néanmoins hafez les a armés et leur a donné les clés du Liban, leur ascension s’est répandu comme une traînée de poudre et ils ne sont pas près de perdre ce renversement inespéré, cette revanche inespérée, cette soif inextinguible de revanche, principalement envers les sunnites et chrétiens libanais, la noblesse libanaise, alors qu’ils cultivaient des légumes et quelques drogues dans la Bekaa, tels des gueux, la belle société libanaise célébrait leur supériorité le long de la côte libanaise, durant l’occupation syrienne, l’une des première conquête des chiites libanais était d’établir leur bastion dans la capitale, le long de la côte jusqu’à Sidon, même jusqu’à Tyr, donc eux, les chiites libanais utilisent également Israel pour justifier ce coup d’état permanent, en réalité ils sont pris dans un double paradoxe, ils n’ont pas d’autre choix pour justifier leur domination armée sur le Liban que d’invoquer leur détermination d’éliminer Israel et parallèlement Israel représente leur unique menace existentielle, les mollahs ont très bien articulés leur emprise sur le Liban, sans oublier que les chiites libanais sont également utilisés pour défendre la base arrière de bashar et des mollahs pour organiser leurs traditionnels trafics sur l’occident, drogues, armes, traite des blanches, véhicules et médicaments payés par la sécu volés en Europe, sans parler des trafics d’organes dans les Balkans et certains pays de l’Est. Les chiites libanais ne sont pas du tout capables d’organier une logistique de cette ampleur, par contre, ce sont des exécutants dévoués et fiables, juste pour dire que l’emprise des mollahs est bien implantée au Liban. Les iraniens comme les musulmans en général, savent parfaitement distribuer des cadeaux, raisons pour laquelle la grande partie des politiques libanais sont largement satisfaits, disons qu’ils n’ont pas mollahs hizbollah n’arrosent pas seulement les politiques libanais, mais également les politiques européens, particulièrement français. Le chiffre d’affaires annuel provenant de ces trafics avoisine les 350 à 450 milliards d’euros, cela avec des marges nettes d’environ 40 à 45%, entre 25 et 30% correspondent aux commissions accordées aux politiques et autres technocrates et il y a bien sûr les coûts liés aux prix des marchandises, environ 25%, à quoi s’ajoutent quelques frais annexes. Ils sont protégés par l’ensemble des polices européennes ainsi que d’autres pays, par exemple lorsque je parle de cocaïne, 25% du prix de vente est nettement supérieur au prix de production locale, mais ils payent également les polices locales pour acheminer leur marchandise. Les réseaux mollahs-Hizbollah sont extrêmement rentables, bon, il y a aussi quelques guéguerres intestines et ils n’ont pas que des amis, y compris au sein de leurs organisations, mais les conflits sont généralement très vites résolus, voilement, mais résolus. La violence extrême est l’adn de ces organisations, ils y vouent un culte structurel, ces membres sont perpétuellement en état d’alerte, la suspicion est permanente, ils se méfient les uns des autres de manière constante et systématique, ils ont tous assistés à des châtiments exemplaires par égorgements au sein de leurs propres troupes, ils terrorisent parce qu’ils sont terrorisés, mais avant tout, ils sont terrorisés, psychologiquement, ils sont incapable de fonctionner de manière individuelle, de manière pulsionnelle, exemple, si dans un groupe, l’un d’eux est pris d’une panique, elle se transmet immédiatement à l’ensemble du groupe, le maillon faible prend le dessus sur l’ensemble, ils ne fonctionnent pas par courage individuel mais par terreur collective. En tuant les chefs, Israel a terrorisé l’ensemble, dès lors, ils n’agissent plus autrement que par désespoir. Leurs modèles n’on cessés de se cacher pour échapper à Tsahal, leur force consistait à se cacher, c’est ce que faisaient les chefs chiites dans leurs guerres contre les sunnites, raison pour laquelle ils se sont reclus dans les montagnes, l’Afghanistan est sunnite, mais ils fonctionnent exactement comme les chiites arabes, leurs bastions guerriers sont dans les replis des montagnes, dans ce contexte il est pratiquement impossible de vaincre, au Liban, le bastion chiite est également dans les régions du nord-est du Liban, régions montagneuses, comme d’ailleurs en Irak, mais ce n’est pas le cas en Syrie et en Perse, raison pour laquelle les Alaouites ne sont à vrai dire des chiites, ils sont des descendants de chiites, mais ont fait depuis des siècles des alliances et se sont soumis aux sunnites, ce ne sont pas des guerriers, ils ont été inféodés à l’islam sunnite et ils ne cultivent pas le culte du martyr. Parallèlement les chiites iraniens ne cultivent non plus, pas le culte du martyr, ils reposent leurs modes de fonctionnement sur les codes de la civilisation perse, en réalité, la Perse a été obligée d’adopter l’islam, c’est par sentiment de rébellion qu’ils ont optés pour le chiisme, mais c’est une longue histoire. Le danger le plus éminent, du point de vue idéologique pour les chiites perses, c’est le chiisme arabe, les chiites arabes exigent la soumission des chiites perses à leur ordre par le biais de pulsions fanatiques, le culte du martyr provoque des trances collectives chez les chiites arabes impossible de réprimer, assez proche du christianisme, les chiites libanais et autres ont souvent, lors des croisades pris parti pour les croisés, se sont battus aux côtés des chrétiens contre les ethnies sunnites, saddam hussein, sunnite à la tête d’un pays à majorité chiite n’a pas eu beaucoup de peine pour enrôler des chiites irakiens dans la guerre meurtrière avec l’Iran, les chiites irakiens comptaient sur le support des chrétiens (américains) pour s’imposer en Iran, ne pas oublier que de leur côté, les chiites iraniens cultive le culte du mahdi, c’est dire que le messie sera iranien. Les perses se sont attribués la descendance d’Ali et d’Hussein au détriment des prophètes de Kabbalah, sale coup pour les guerriers chiites qui se sont battus pendant 1’400 ans contre « ces chiens de sunnites », l’histoire, encore l’histoire a très bien illustré les traitrises et instigations des deux bords, chiites arabes et chiites perses, les chiites perses ont toujours évités des confrontations directe avec les sunnites, arabes ou perses, afin de ne pas insulter les sunnites, ils ne cultivent pas, ou pratiquement pas le culte du martyr, qui revient à stigmatiser les sunnites, au travers du martyr d’Ali et d’Hussein, en gros, les chiites accusent les sunnites d’être des usurpateurs de la volonté de Muhammad et des assassins de la descendance du prophète, ce en quoi ils n’ont pas tort. Et les seuls qui ont combattus les sunnites sur ce point, sont les chiites arabes, les chiites perses ne sont également pas très victorieux avec leur invention du mahdi et ils n’ont jamais hésiter à créer des querelles sur le dos des chiites arabes, irakiens principalement. Les perses provoquaient les sunnites qui s’en prenaient aux chiites irakiens, ces manipulations continuent de fonctionner et c’est même le privilège exclusif des mollahs qui sont passés maître en matière de manipulations, ils l’on fait avec les sunnites pendant des siècles et maintenant, ils n’ont pas eu, de fait, beaucoup de difficulté de le faire avec Israel. C’est la raison pour laquelle les sunnites ont pendant des décennies suivit les frères musulmans, alliés des chiites et soutenus par les chiites iraniens, pour les sunnites, ça avait dévié les querelles contre eux (sunnites) en « faveur » d’Israel, à un point qu’au début ils en étaient même arrivés à soutenir le programme nucléaire iranien. Bon, ils très vite compris qu’ils se sciait la branche, cette haine contre Israel largement partagée, notamment pour permettre aux foules de défouler leur contestation, Israel avait l’énorme avantage de permettre aux foules arabes de manifester sans remettre en cause les gouvernements desquels ils sont victimes. Comme je l’ai dit, les perses et depuis l’aube de l’islam sont passés maîtres en matière de manipulation, il suffit d’y ajouter les frères musulmans et le cocktail fonctionne comme un psychotrope puissant. Les idéologies des frères musulmans ont été considérées par les pays sunnites de golfe et pas que, comme une menace essentielle envers les dogmes de la sunna, depuis les années 50, les frères musulmans rejetés massivement par les pays sunnites ont fait alliance avec les chiites iraniens, ils n’allaient pas louper une telle aubaine, cependant ce mouvement est profondément sunnite et arabe, ce qui a fait que les mollahs ont mis certaines réserves, par contre, l’Iran soutient ces derniers, notamment envers les courants frérots proche de l’ex-mufti de Jérusalem, le waffen ss al huseini amant d’arafat. Les mollahs se sont immédiatement engouffrés dans cette brèche inépuisable et enfoncent le coin dans la fente du tronc, de ce fait, cette alliance de circonstance pousse les sunnites vers des alliances avec Israel, c’est par rejet des idéologies des frérots et leur alliance avec les mollahs qu’une majorité de sunnite se tournent vers Israel, tout cela sans compter sur les avantages militaires et technologiques offert par le petit état. Donc le défi est boosté côté chiite, non seulement ils peuvent défier leurs ennemis héréditaires sunnites mais coupler leur détestation contre l’occident, ce qui pose un problème pour les chiites, comme je l’ai dit, les chiites s’étaient souvent alliés des croisés pour remporter des victoires sur les sunnites. Il faudrait dans ces calculs prendre en considération le rôle des ottomans également sunnites mais fâchés avec les clans arabes, leurs ambiguïtés vis-à-vis des perses etc.
    Pour revenir à nos moutons, les petits soldats de Tsahal sont soudainement précipités dans ce magma aussi complexe qu’une machine à tricoter. Vouloir exposer nos soldats à cette configuration est absurde, premièrement la très grande majorité des soldats sur le terrain au sud-Liban sont ceux qui se sont battus à Gaza, à Gaza, ils se battaient contre des sunnites, dans une logique de combat sunnite. Beaucoup moins rusés, moins entrainés et moins équipés pour des combats sur le terrain. Le terrain est également équipé en installations souterraines et largement doté de booby traps de mines et de pièges certainement plus vicieux que ceux mis en place par le hamas. Un avantage, le sud-Liban est 1’000 fois habité que Gaza, les chiites du hizbo n’ont pas la possibilité de se cacher derrière des boucliers humains. Il n’y a pas non plus d’immeuble, donc la comparaison relève principalement de ce qui concerne leurs capacités psychologiques, détermination, entraînement, préparation au combat, caractère, influençabilité et d’autres facteurs liés à leurs croyances et aversions. Les chiites sont beaucoup plus dures psychologiquement que les gazaouis, même sil ils sont pris d’énormes taules lors de leur participation aux massacres de civils en Syrie principalement par les troupes de daesh et par les kurdes, une estimation relève qu’environ 80’000 membres du hizbo ont été mis hors service, morts, blessés graves pendant leur campagne syrienne, il faut également préciser que Tsahal a énormément appuyer les kurdes et même daesh dans ces combats, principalement à des niveaux liés aux renseignements et de la logistique. Dans les deux cas, Gaza et Liban, il n’y a pas d’effet de surprise et cela pour les deux camps. Les surfaces de territoire sont pratiquement semblable, comparables entre la bande entre le Lithani et la frontière et la bande de Gaza. Donc cela se détermine également au niveau des avantages, pareil qu’à Gaza, le hizbo a organisé le terrain en sa faveur, le sous-sol est rocheux, donc beaucoup moins de longs tunnels permettant au hizbo de se déplacer sur des longues distances, par contre, plus de caches mieux équipées ce qui se révèle comme un net avantage, les combattants ne peuvent pas fuir et sont de facto, plus actifs. Perso, je balancerais des gaz hallucinogènes et la fête commence, ce serait certes, une légère entorse aux conventions, mais y aurait-il des témoins ?
    Le gros problème des combattants du hizbo et certainement le cas des forces de Tsahal, sont leurs prédispositions à la discipline envers leurs états-majors. Souvent dans ce type de configuration, l’indiscipline est un atout majeur, ce n’est pas du tout le cas avec le hizbo, il ne faut également pas négliger que le hizbo n’a pas placer ses meilleurs éléments dans les premières lignes, dans ce genre de configuration, ils font un curieux mélange, deux bidasses et un costaud. Malin, rusé et celui qui ordonne, terrorise ses bisasses et les envoie au casse-pipe en premier, donc cela crée un déséquilibre collectif qui provoque une panique qui peut se révéler fatale pour le petit chef, c’était le même schéma à Gaza, surtout lorsque les cellules sont isolées du reste pendant de longues périodes, ce genre de mini-mutineries étaient peu fréquentes mais pas rares. Les 8 malheureux tués cette semaine ne faisaient pas partie d’une troupe d’élite, ni d’un commando de larmée de terre, ces gamins n’étaient pas complétement aptes pour ce job.
    Cela tout en sachant que le bastion du hizbollah se trouve dans le nord du Liban, un des principe fondamental dans la stratégie militaire consiste à couper les arrières de l’ennemi, suivre une « logique » réactive donne un coup en arrière, le terrain du sud-Liban suggère une chasse aux lapins, les lapins se terrent ne sont atteignables que lorsqu’il pointent leurs oreilles de leurs terriers, ou de repérer le terrier et les enfumer, dans ce cas, une fois localiser, faire péter la planque. Il doit y en avoir quelques milliers, mais un bon nombre ont déjà été détruits, également l’armée de l’air continue sont travail depuis les airs, mais ce que les troupes de terre ne doivent, dans tous les cas, ne pas faire, c’est de passer à côté et les avoir dans le dos. C’est arrivé nombre de fois à Gaza, ça même été la principale raison des pertes dans Tsahal. La différence dans ce genre de piège, c’est qu’à Gaza, les tunnels permettaient aux terroristes de sortir par différents accès des tunnels, ce qui n’est pas le cas dans le sud-Liban, il est fort probable que les 8 soldats de Tsahal se soient fait tirer dans le dos, il est plus qu’évident que tirer dans le dos donne des secondes d’avance et provoque un effet surprise, donne également aux ennemis le temps nécessaires pour viser et de faire des calculs de regroupements, ainsi 2 tireurs peuvent facilement atteindre une dizaine de cibles. A Gaza, depuis les hauteurs des immeubles, les portées de tirs étaient avantagées, il était aisé de repérer des déplacements depuis des positions panoramiques, ce n’est plus le cas dans les zones du sud-Liban. Bien que les décisions du commandement de Tsahal soient à nouveau catastrophiques en matière d’engagement terrestre et face des milliers d’ennemis embusqués, une victoire sur ce terrain se fera au prix de nombreuses vies israéliennes.
    Tout cela n’a pas commencé le 7 octobre, en 2006, le premier ministre olmert et son général en chef alutz avait déjà envoyé nos soldats à la mort et dans une misère signée de la main gauche. En réalité, les petites guéguerres entre les nazis enturbannés et la gauche en place depuis quelques décennies semblent bien synchronisées au sein de l’internationale et des mafias organisées.
    Il est clair que Bibi ne voit pas ces directives du même œil que l’ensemble de l’état-major systématiquement à gauche qui tente le tout pour le tour, ils ne s’arrêtent jamais, encore moins la mort de quelques milliers de nos jeunes, en fait, ils répètent les scénari orchestrés par leur maître et camarade staline. Le but de cette junte est de pousser Bibi dans la même rhétorique habituelle, ils ont quelques centaines de professionnels de la contestation qui œuvre dans les carrefours de Tel-Aviv et nous voilà reparti pour devoir signer des accords avec les nazis pour les prochains mois.
    Ce que craint plus que tout cette gauche, c’est de voir la disparition des mouvements terroristes, ces gauchistes vivent de ce business et ne comptent pas abandonner cette poule aux œufs d’or.
    Ils ont malgré tout un sérieux problème, ce n’était pas encore le cas en 2006, mais en 2024 avec l’énorme coup de bluff du 7 octobre, nombre d’israéliens ont ouvert les yeux, déjà plusieurs personnages ont été concernés dans des affaires d’une gravité impensable jusqu’à lors. Les chefs d’accusation encourus sont de l’ordre de la trahison envers la nation, la clic des juges est sous haute observation. Ce qu’il vient de se passer, c’est que les sondages ont grimpés en faveur de Bibi, nous somme le 4 octobre 2024, immédiatement et totalement contre l’avis de Bibi, les états-majors gôchos de Tsahal ont ordonnés aux troupes de faire des incursions dans le sud-Liban, ça n’a pas manqué, 8 soldats ont été foudroyés le premier jour, mais également cette machination sera exposée au grand jour et cela ne fera que faire chuter encore plus cette bande de voyous.
    C’était exactement le même scénario avec olmert, théoriquement du Likoud, puis Kadima avec Sharon, mais qui s’est immédiatement entendu avec la gôche et s’est servi lors de la distribution de soupe, il était faible dès qu’il y avait des intérêts financiers et n’a pris que 18 mois ferme alors qu’il aurait dû se manger perpète, mais il avait vite compris qu’en disqualifiant la droite au profit de la gauche, sa peine serait réduite par 40. Ca aussi les israéliens l’ont bien compris, c’est la raison qui l’a poussé à faire un interview il y a 10 jours, dans lequel il a le culot de se glorifier de sa « victoire » de 2006, disons plutôt du gâchis de 2006, dans lequel le hizbo avait kidnappé 2 soldats qui ont coûté la vie de 110 autres, plus d’innombrables blessés, également une bonne pub pour le hizbo, car plus de 1’200 civils libanais avaient été bombardés de manière létale, cela pour neutraliser une centaine de membres du hizbo. Toute cette machination avait été techniquement orchestrée par le général alutz qui devrait également finir ses jours à l’ombre. Il s’agit d’une mécanique bien huilée, mais encore raté, c’est Bibi qui a été élu en 2009 après que les preuves de corruptions écrase le mandat du traitre olmert. Il a beau avoir été protégé par la meute gôchos judiciaire, les affaires se sont accumulée jusqu’à niveau insupportable, même pour la presse pourrie par la gôche, cet épisode de la politique israélienne illustrait parfaitement les mécanismes auxquelles nous assistons depuis le 7 octobre. La paire olmert/alutz avaient déjà envoyé nos soldats dans les lignes du hizbollah, cette fois sans aucune préparation et sans garantir de logistique pour les troupes en avant-poste, certaines sont restées 3 semaines sans le moindre ravitaillement et sans munition, un véritable exemple de ce que jusqu’où la gôche peut aller, comment la société civile et ses institutions sont organisées pour contrôler par la terreur l’ensemble du pays, en Israel, nul besoin de milices privées ou d’appareil étatique genre securitat comme dans l’ex-Roumanie, il suffit de quelques contacts avec les groupes terroristes du voisinage et de « nourrir » de bonnes relations avec les officines de l’onu. Israel et le terrorisme représente un chiffre d’affaire liés à des soi-disant réfugiés de centaines de milliards annuels, tout ça sans prendre en compte les chiffres d’affaires des trafics du hizbo. Un tas de rats tentés par un tas de riz tenteur. Dès 2006 Bibi avait commencé ses démarches pour reconquérir son job perdu en 1999 alors que barak raflait la mise suite à la démonstration d’olmert dans le but de faire tomber le Likoud avec en bonus la clémence des tribunaux gôchistes ils lui administrent 18 mois en lieu et place de 15 ans et le département de justice déjà en préparation de ses futures machination. Sachant que barak ne ferait pas long à son poste, une vingtaine de mois particulièrement pénibles fleuris de clintonneries et d’accords, pareilles à ceux mendiés par le biden sur Gaza et le Liban. Bill lançait la balle et barak la lui ramenait avec en prime quelques tickets gratos de carrousel chez epstein et gislaine. Ses tours de passe-passe ne sont pas arrivés à distraire très longtemps et il ne reversait pas assez croquettes aux employés, maintenant sa réputation est couronnées de quelques vidéos volées sur le perron de l’hôtel particulier de jeffrey, mais il est toujours là pour fourguer ses adresses collectors aux jeunes débutants et le Shabbat, aux présentateurs tv pédés contre une petite danse.
    Ces petits détours panoramiques sont des éléments du décors, c’est tellement gros que ça passe, les brouettes de dossiers s’empilent, mais pas que dans les administrations. Les gôchos ont la mémoire de la taille de zgeg, ils ont du zappés des épisodes et un bis devrait les remettre en selle, la prochaine série ne va faire le casting avec des bambins, en Israel y a des pitbulls sans laisse et sans nom et il faut savoir qu’en Ertez, y a pas que les zarabes qui animent la scène avec des détonateurs. On voit de plus en plus de généraux de brigades bas de gamme avec 5 gardes du corps, fini les michtos près des kioskes à journaux, galant pue la mort, il évite les miroirs, ça le transperce de décharges électriques.
    La liste de gradés pourris s’alonge, la sécurité intérieure se craquelle, des éclats de lumière rosâtre transpercent le vernis opaque de la devanture de ce piteux bordel étatique, tout cela pour dire que les courants finissent toujours par approfondir le lit des rivières. Je commence a mieux comprendre ce qu’il s’est passé en 1995 devant la mairie de Tel-Aviv, à l’époque nous étions un peu trop unanimes avec la presse grand publique. A cette époque nous étions encore suspendus aux soupires de vierges quarantenaires.

    On voit, comme avec Gaza qu’il est nettement préférable de traiter chaque agresseur séparément, à mon avis la stratégie de base des mollahs n’a pas été exécutée en regard de son plan initial, qui aurait consisté de déclencher une attaque générale venant simultanément de plusieurs fronts, sans oublier cette cinquième colonne provenant de la gauche israélienne et de sa volonté impuissante de renverser le gouvernement actuel.
    J’ose émettre l’hypothèse, de plus en plus criante qu’il y a pu avoir des trahisons provenant de l’establishment de la gauche avec certains acteurs de cette alliance entre l’Iran et ses proxys. Nous l’avons très bien vu au travers de l’attitude des USA, le petit jeu de ces envoyés comme Blinken et Hochstein synchronisé au millimètre avec ennemis politique de Bibi.
    Finalement, les mollahs comme les USA avant les présidentielles n’avaient-ils pas comme intention première et unique de faire chavirer l’actuel coalition de Netanyahu ?
    Je continue d’affirmer que dès le départ, les choses ont dérapé, le hamas projetait de faire une incursion spectaculaire, seulement deux imprévus ont complètement dégénérés le 7 octobre, tant le hamas n’avait pas prévu que des milliers de civils gazaouis allaient provoquer un massacre incontrôlable et du côté israélien, une promesse de ne pas agir, tel que ça s’est passé sans agir avant 16:30 heures et le fait que coupable de ce refus d’agir et défendre l’ensemble de la zone de Otef Haza, l’état-major de Tsahal, les divers renseignements n’avaient également pris en compte qu’un grand rassemblement rempli de jeunes femmes, allait perturber les plans initiaux. Ce sont des civils gazaouis venus par milliers non prévus par le commandement du hamas qui ont débarqués comme des loups dans la bergerie.
    Initialement le plan du hamas consistait de prendre une centaine d’otage, éventuellement de tuer quelques dizaines d’Israéliens et retours dans les tunnels avec une monnaie d’échange pour imposer à Israel des échanges de prisonniers, tandis que la gauche israélienne attendait avec une arrière garde prête et entrainée qui inonde les rues de Tel-Aviv, cherchant de provoquer, avec comme première priorité, la destitution de Bibi. Les pancartes étaient préparées à l’avance.
    Si l’Iran et ses proxys avaient voulu exécuter leur promesse prophétique annoncée des millions de fois, ils auraient agis de manière concertée et surprenante et synchronisée avec ses proxys le matin de 7 octobre, rétrospectivement toute cette histoire n’est rien d’autre qu’un enchaînement d’actions incontrôlées et foireuses. L’attitude venant des commandements israéliens sont de plus en plus inexplicable, je persiste à affirmer que ce plan de 7 octobre n’a pas fonctionné comme prévu, que le hamas n’avait pas anticipé la venue de milliers de civils, que les deux camps n’avaient pas pris en compte la présence de milliers de fêtards réunissant autant de jeunes femmes, que ceci amenant cela, rien n’explique comment Tsahal ait mit plus de 8 heures avant d’intervenir sur le terrain et notamment par les airs, que gantz ait démissionné, que deux chefs de la sécurité également, que les autres se taisent depuis plus d’un an etc.

    Il est évident que la gauche était complice du hamas dans cette tentative folle de renverser la coalition de Bibi, dans toute les administrations, la gauche contrôle, justice, armée, renseignements, presse, cela avec des pensions surréalistes, des salaires obscènes pour tous ces hautes fonctionnaires, y compris ceux travaillant pour Tsahal et les renseignements. Ils craignaient plus que tout une réforme judiciaire et le maintien d’un gouvernement de droite aux commandes. Nous avons pu continuer d’observer l’attitude des commandants de Tsahal pendant les 8 premiers mois de l’invasion terrestre de Tsahal à Gaza, un pas en avant, deux pas en arrière et que dire des nombreuses visites d’officiels et politiques israéliens qui rendaient visite à sinwar, quand il était emprisonné ?

  3. En fait, voici le texte que je voulais envoyer !

    On voit, comme avec Gaza qu’il est nettement préférable de traiter chaque agresseur séparément, à mon avis la stratégie de base des mollahs n’a pas été exécutée en regard de son plan initial, qui aurait consisté de déclencher une attaque générale venant simultanément de plusieurs fronts, sans oublier cette cinquième colonne provenant de la gauche israélienne et de sa volonté impuissante de renverser le gouvernement actuel.
    J’ose émettre l’hypothèse, de plus en plus criante qu’il y a pu avoir des trahisons provenant de l’establishment de la gauche avec certains acteurs de cette alliance entre l’Iran et ses proxys. Nous l’avons très bien vu au travers de l’attitude des USA, le petit jeu de ces envoyés comme Blinken et Hochstein synchronisé au millimètre avec ennemis politique de Bibi.
    Finalement, les mollahs comme les USA avant les présidentielles n’avaient-ils pas comme intention première et unique de faire chavirer l’actuel coalition de Netanyahu ?
    Je continue d’affirmer que dès le départ, les choses ont dérapé, le hamas projetait de faire une incursion spectaculaire, seulement deux imprévus ont complètement dégénérés le 7 octobre, tant le hamas n’avait pas prévu que des milliers de civils gazaouis allaient provoquer un massacre incontrôlable et du côté israélien, une promesse de ne pas agir, tel que ça s’est passé sans agir avant 16:30 heures et le fait que coupable de ce refus d’agir et défendre l’ensemble de la zone de Otef Haza, l’état-major de Tsahal, les divers renseignements n’avaient également pris en compte qu’un grand rassemblement rempli de jeunes femmes, allait perturber les plans initiaux. Ce sont des civils gazaouis venus par milliers non prévus par le commandement du hamas qui ont débarqués comme des loups dans la bergerie.
    Initialement le plan du hamas consistait de prendre une centaine d’otage, éventuellement de tuer quelques dizaines d’Israéliens et retours dans les tunnels avec une monnaie d’échange pour imposer à Israel des échanges de prisonniers, tandis que la gauche israélienne attendait avec une arrière garde prête et entrainée qui inonde les rues de Tel-Aviv, cherchant de provoquer, avec comme première priorité, la destitution de Bibi. Les pancartes étaient préparées à l’avance.
    Si l’Iran et ses proxys avaient voulu exécuter leur promesse prophétique annoncée des millions de fois, ils auraient agi de manière concertée et surprenante et synchronisée avec ses proxys le matin de 7 octobre, rétrospectivement toute cette histoire n’est rien d’autre qu’un enchaînement d’actions incontrôlées et foireuses. L’attitude venant des commandements israéliens sont de plus en plus inexplicable, je persiste à affirmer que ce plan de 7 octobre n’a pas fonctionné comme prévu, que le hamas n’avait pas anticipé la venue de milliers de civils, que les deux camps n’avaient pas pris en compte la présence de milliers de fêtards réunissant autant de jeunes femmes, que ceci amenant cela, rien n’explique comment Tsahal ait mit plus de 8 heures avant d’intervenir sur le terrain et notamment par les airs, que gantz ait démissionné, que deux chefs de la sécurité également, que les autres se taisent depuis plus d’un an etc.

    Il est évident que la gauche était complice du hamas dans cette tentative folle de renverser la coalition de Bibi, dans toute les administrations, la gauche contrôle, justice, armée, renseignements, presse, cela avec des pensions surréalistes, des salaires obscènes pour tous ces hautes fonctionnaires, y compris ceux travaillant pour Tsahal et les renseignements. Ils craignaient plus que tout une réforme judiciaire et le maintien d’un gouvernement de droite aux commandes. Nous avons pu continuer d’observer l’attitude des commandants de Tsahal pendant les 8 premiers mois de l’invasion terrestre de Tsahal à Gaza, un pas en avant, deux pas en arrière et que dire des nombreuses visites d’officiels et politiques israéliens qui rendaient visite à sinwar, quand il était emprisonné ?

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