À la lumière des tentatives de son père de former une coalition, le fils du Premier ministre met en garde un gouvernement de bloc pour remplacer Netanyahou: « L’Iran fera ce qu’il veut » | Il a évoqué l’état des médias: « C’est une catastrophe »
Kol Réga’ – Photo de Yair Netanyahou sur Instagram
Alors que le Likud tente de persuader Smotrich et Sa’ar de ne pas tenir leurs promesses électorales, Yair Netanyahou met en garde contre un gouvernement dirigé par Lapid et Bennett – dont les partis de gauche feront partie.
« La signification d’un tel gouvernement est ce que le gouvernement d’Oslo a fait n’est rien », a déclaré le fils Netanyahou dans son émission à la radio Gali Shirel. « Je veux dire, par rapport aux implications historiques et profondes d’un tel gouvernement », a-t-il poursuivi.
« Nous avons parlé du danger existentiel que l’Iran nous pose ces jours-ci, et nous avons un autre danger au moins existentiel en termes de démocratie, de droits de l’homme et de liberté, qui est la dictature juridico-fonctionnariale », a ajouté Yair Netanyahu.
En outre, Yair a menacé la formation d’un gouvernement dirigé par Bennett et Lapid: « Un tel gouvernement, un gouvernement de gauche avec Bennett comme une marionnette pendant quelques mois, établiront enfin le règne des juristes et des fonctionnaires. Nous deviendrons une dictature absolue. Avec une sorte de gouvernement paritaire où chacun poussera dans une direction différente, pendant que l’Iran fera tout ce qu’il veut et arrivera à la bombe nucléaire », a averti Netanyahu.
En plus des avertissements et des menaces, le fils du Premier ministre a évoqué l’état de force dans les médias israéliens: « Et c’est le pouvoir des médias. S’il y avait de véritables ‘Fox news’ comme aux États-Unis, et une telle chaine aurait suffit face aux canaux 12 et 13, cela ne se serait pas produit, et ni Bennet ni Sa’ar n’auraient pu songer jouer le jeu qu’ils jouent ici actuellement. «
« Le grand prix que l’Etat d’Israël paie du fait de ce monopole médiatique de gauche est une catastrophe », a conclu Yair Netanyahou.
