En réponse à l’intention du gouvernement d’imposer une fermeture durant les jours de fêtes de Tishri, Yaakov Asher a déclaré que le public ne coopérerait pas avec une telle fermeture. Il s’en prend à Naftali Bennett : « Bennett, qui a donné aux masses d’Israéliens à l’étranger en juillet et août d’aller à l’étranger, veut maintenant contrer le public traditionnel. Il n’est pas vraiment intéressé par les fêtes ».
JDN – Benjamin Berger
Suite à des informations faisant état de l’intention du gouvernement d’imposer une fermeture durant les fêtes de Tishri, le député Yaakov Asher réagit avec virulence. Il a déclaré que le public ne ferait pas confiance et ne coopérerait pas avec une telle fermeture.
Dans une interview avec Kol Barama, le député Yaakov Asher du judaïsme de la Tora a déclaré : « Il n’y a aucune chance que le public ne fasse confiance à la décision de fermer en Tishri, c’est une honte. » Et vous ? Le député Asher en réponse : « Je fais aussi partie du public. »
«Cette crise depuis le début a été marquée par un manque total de gestion. C’était totalement différent sous le gouvernement précédent. A présent, on traîne les pieds. Il n’y a pas de leadership. Le fait que Bennett ait réussi à devenir Premier ministre ne fait pas de lui un leader. »
Asher a ajouté : « Bennett, qui en juillet et août a autorisé des masses d’Israéliens à se rendre à l’étranger, pour réimporter le virus Delta, veut maintenant nuire au public traditionnel. Il s’avère qu’il n’est pas vraiment intéressé par les fêtes, Roch Hachana et le jeûne de Yom Kippour.
« Aucun ministre des Finances n’était disposé à approuver les impôts et les décrets approuvés par Lieberman. Il ne met pas d’impôt sur l’alcool car cela nuit à son public. Il ne touche pas à la vodka. Il est assis juste sur les populations faibles. »
Asher qui a fait référence au budget des Yechivoth et a déclaré que « le budget des Yechivoth n’a pas été touché pour l’instant, parce que le gouvernement n’a pas la force de tenir face aux pressions que nous lui imposons et à la guerre d’usure que nous menons, ils ont compris que s’ils se le permettaient, l’incendie monterait à un niveau supérieur, à un degré qu’ils ne connaissent pas et qu’ils ne sont pas en mesure de supporter ».
