« Violence économique » : l’hôtel hébergeant Netanyahou a été attaqué par les opposants au gouvernement – et Internet est en ébullition

Les opposants au gouvernement ont écrit des critiques négatives sur l’hôtel Panda, qui accueillait le Premier ministre et son épouse, et ont abaissé son classement sur Google. Les partisans de la réforme juridique ont été indignés et ont lancé des réponses positives.

Hidabrouth – Shlomi Diaz

L’hôtel Panda de Neve Ativ, qui accueillait le Premier ministre Binyamin Netanyahou et son épouse Sara pendant leurs vacances dans le nord, a été la cible d’une violente attaque le dernier jour de la part des opposants à la réforme judiciaire. Ils ont publié de nombreuses condamnations contre l’hôtel dans « Google Reviews », lui attribuant une étoile sur cinq, abaissant ainsi sa note.

Les opposants au gouvernement ont écrit, entre autres, que l’hôtel « héberge des tyrans » et « ne se respecte pas ». La page Facebook de l’hôtel était également remplie de critiques négatives et les internautes ont appelé à ne pas y rester.

Dans la journée (mercredi), les partisans de la réforme ont commencé à réagir, écrivant des critiques positives de l’hôtel qui comprenaient une note maximale de 5 étoiles. L’un des supporters a écrit à la direction de l’hôtel : « Ce n’est pas de votre faute s’il y a des gens qui, au nom de la démocratie, vous gâchent la vie ».

De nombreux internautes ont exprimé leur colère contre les opposants à la réforme et ont écrit qu’ils avaient franchi trop de lignes rouges : « Vous êtes prêt à nuire aux moyens de subsistance des gens au nom de votre protestation. Cela ne vous dérange pas de piétiner d’autres personnes et des propriétaires d’entreprises. Je me demande comment vous réagiriez s’il était dirigé contre vous. »

D’autres auteurs, qui n’étaient pas d’accord avec la manière dont les opposants au gouvernement ont choisi d’exprimer leur opposition, l’ont comparée au mouvement de boycott contre Israël. L’un des internautes a écrit que « rédiger de fausses critiques pour abaisser une note est de la violence financière et un acte illégal ».