Une réunion des parents des otages avec le cabinet de guerre tourne mal !

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La mère d’un otage : la réunion avec le cabinet – une manifestation, ceux qui tentaient de présenter leurs condoléances ont été réduits au silence de manière effrayante.

Iris Haim, dont le fils a été enlevé à Gaza, a parlé de la réunion houleuse entre les familles des personnes enlevées et le gouvernement. Elle a décrit la réunion comme une manifestation à tous points de vue : « Elle a été organisée de manière planifiée – ce qu’ils disent quand ils ils lèvent des pancartes, sur quel ton ils parlent, comment ils crient. »

JDN

Hier soir (mardi), a eu lieu une réunion chargée et difficile entre les représentants des familles des personnes enlevées et le Cabinet de Guerre, au cours de laquelle il y a eu des affrontements physiques, des injures et des cris. Même si l’objectif de la réunion était d’attaquer le gouvernement, certains parents d’enfants enlevés n’ont pas accueilli favorablement cette décision apparemment préméditée.

Iris Haim, dont le fils a été enlevé à Gaza, a raconté à Linon Magal, dans l’émission Patriots de la Quatorzième chaîne, la rencontre houleuse entre les familles des personnes enlevées et les membres du cabinet, et l’atmosphère effrayante qui y régnait, selon elle : « Il a été géré de manière planifiée – ce qu’ils disent, quand ils lèvent des pancartes, sur quels tons ils parlent, comment ils crient », a affirmé Iris.

Selon elle, « l’atmosphère est terrible. Des chants tels que ‘Tais-toi’, ‘Asseyez-vous tranquillement’. Quiconque essayait de dire un bon mot au cabinet et de le soutenir était simplement réduit au silence d’une manière très énergique et même effrayante. »

Elle a décrit cette réunion houleuse comme une manifestation pour tout : « En gros, c’était une manifestation où ils venaient crier contre le gouvernement et le cabinet – et je ne vais pas aux manifestations, donc j’étais vraiment désolée d’avoir pris la peine de venir. Il était géré de manière planifiée, ce qui se disait, quand les panneaux étaient levés, dans quels tons étaient parlés, comment étaient criés et même nous avons vu un tutoriel avant d’entrer. Il y avait un son très clair de haut-le-cœur sans équivoque.

« Le but de cette réunion au nom des familles était de faire entendre leur voix, de faire baisser le moral, et bien sûr, ce n’était pas censé se passer ainsi – ce n’était pas le but de la réunion, du moins pour moi. Je suis venu à cette réunion pour comprendre comment mon fils reviendrait le plus rapidement possible, je n’ai pas obtenu de réponses car ils ne leur ont pas donné la possibilité de parler. »

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