Le rédacteur en chef du journal Ma’ariv, Doron Cohen (notre photo) dans un tweet courageux : « La gauche est devenue folle et a déraillé »
« Les événements de ces dernières années ont prouvé que j’avais raison. » Le rédacteur en chef de ‘Maariv’, Doron Cohen, a écrit qu’il critiquait durement la gauche, qui, selon lui, a déraillé et abandonné ses vrais principes. Selon lui, trois de ses amis qui l’ont critiqué ces dernières années pensent désormais comme lui.
Be’hadré ‘Harédim – Kobi Uziéli – Doron Cohen Photo : extrait d’émission de la chaîne 14
Le rédacteur en chef du journal ‘Maariv’, Doron Cohen, a publié hier soir un tweet courageux sur son compte Twitter au moment où ceux qui ne s’alignent pas sur la junte journalistique font l’objet d’agressions contre eux : « Contrairement à ce que les gens pensent de moi, je n’ai pas basculé de gauche à droite. Dans l’ensemble, je suis arrivé à la conclusion en 2015 que la gauche était devenue folle et avait déraillé et malheureusement, de nombreux événements de ces dernières années ont prouvé que j’avais raison. »
Selon lui, « J’ai subi beaucoup de réactions horribles ces années-là, aussi des humiliations, mais les 3 personnes (leurs noms sont connus de la rédaction) qui m’ont le plus attaqué – pensent comme moi aujourd’hui. Il y a de l’espoir. »
Gil Gutkin, chroniqueur gastronomique dans Haaretz et Calcalist, l’a critiqué et a écrit : « Un homme du camp de Ben Gvir, Smotrich, Pindrous, Tali Gottlieb, Almog Cohen, Mai Golan et Nissim Vatouri, traite l’autre côté de fou. C’est psychotique. Vraiment. Le niveau de détachement de la réalité est quelque chose qui devrait inquiéter tous ceux qui se soucient de vous. »
Doron Cohen n’est pas resté redevenant, et a rétorqué : « Je ne suis pas dans le camp des personnes que vous avez citées, mais certainement pas dans votre camp non plus. Vous êtes stupide, trop stupide. »
Ces derniers mois, Doron Cohen émet parfois sur la radio Galé Israël et apparaît dans des panels sur Arutz 14, principalement dans les programmes du commentateur politique Ya’akov Bardugo.
C’est bon à savoir, tout cela.
