Après avoir dévoilé la semaine dernière des détails nouveaux et alarmants sur l’affaire Harpaz, comme la conversation controversée entre Avi’hai Mandelblit et le chef d’état-major de l’époque Gabi Ashkenazi, la journaliste connue Ayala ‘Hasson a déclaré « que dossier peut tout renverser ! »
Be’hadré ‘Harédim, Radio 103 FM
La journaliste Ayala Hasson a récemment dévoilé à Channel 13 de nouveaux détails sur la conversation secrète entre Avihai Mandelblit, qui était l’avocat militaire en chef à l’époque, avec le chef d’état-major de l’époque, Gabi Ashkenazi. En conséquence, à la lumière des audiences de la Haute Cour au cours de la semaine dernière, Hasson, dans une interview avec Arel Segal sur Radio 103FM, a commenté les détails qu’elle a révélés et les troubles dans le système judiciaire qu’ils provoquent, disant: « Une telle histoire aurait dû ébranler les piliers et choquer les politiciens, les juristes et la presse. Avi’haï Mendelblit doit absolument expliquer ce qui s’est passé au courant de cette conversation. «
Ayala Hasson a révélé l’histoire des enregistrements volés de Mendelblit-Ashkenazi et a déclaré qu’il s’agissait d’un « appel téléphonique très dramatique et long qui a eu lieu le 26.9 entre Avi’hai Mandelblit, qui était alors l’avocat militaire en chef, et Gabi Ashkenazi qui est chef d’état-major. Ashkenazi était très inquiet des résultats de l’enquête dans son cas et Mandelblit lui soumet insensément tous les documents. Ils s’entretiennent également d’autres sujets, et je ne peux pas en dire plus à ce stade, mais les choses sont très troublantes. »
Elle dit que Mandelblit avait été interrogé sur la conversation avec Ashkenazi, mais il n’a pas dit ce qui s’était passé, et finalement « même ces preuves ont été mises de côté sur ordre de Shai Nitzan » (l’ancien procureur d’État d’Israël, de 2013 à décembre 2019) ! Elle a noté que « le bureau du procureur est très contrarié qu’une pièce aussi importante disparaisse car sans elle, tout l’acte d’accusation contre Mandelblit reste insignifiant. On a là une bombe à retardement dans un coffre-fort. « Comment cela peut-il être? Y a-t-il des preuves folles et quelqu’un ferme tout, comment cela se passe-t-il? Quelle est l’inégalité de l’application dans ces contextes? »
Hasson a continué de s’interroger sur la capacité du tribunal à exercer ses fonctions, selon elle, « c’est un devoir de rendre publique cette conversation, elle devrait bousculer les piliers de la société, choquer les politiciens, les juristes et la presse. Le même porte-parole du gouvernement a statué que Dan Eldad a rencontré toutes sortes de personnes sans autorisation, donc si Dan Eldad l’a fait sans autorisation, je le condamne, mais si vous parlez d’échecs de valeur, parlons de ce que vous avez fait, M. Mandelblit…. «
Selon elle, la Haute Cour n’était pas au courant de l’existence de ces pièces. Elle demande : « Pourquoi tant de gens avaient-ils intérêt à cacher cette conversation », et a répondu pare qu’elle implique des gens que l’on ne veut pas trainer dans la boue.
Elle a ensuite commenté la couverture médiatique de l’affaire, expliquant qu' »il existe une forme de censure dans le monde de la presse, prétextant sur quelque chose ‘ce n’est pas intéressant’, ‘c’est sous censure’, ‘cela n’intéresse pas le public’, ‘c’est ennuyeux’.
Pour conclure, Hasson a dit que ces pièces, si elles passent au public, engendront un tremblement de terre.
Le rédacteur de cet article parle t-il la France ?
Que veut dire ce lecteur ? Si son rédacteur sait le français : moyennement.
Si une telle information concerne la France ? Les gens qui s’intéressent à la politique intérieure d’Israël, oui, car réellement ce dossier est explosif, et risque fort d’arriver à un tel niveau dans les jours qui viennent. Alors, que faire ? Se taire ? Quel est au fait le rôle d’un site d’information ?…
Tout à fait, l’article est important, pas de doutes la dessus.
Le fait de l’exprimer dans un français correct ne l’est pas moins.