Quiconque regarde et écoute les médias ces derniers jours est persuadé que le système de santé est sur le point de s’effondrer et qu’il y a une pénurie de médecins seniors dans de nombreux domaines. Le Dr Yuval Maroz affirme que la situation n’est pas aussi forte que ce que les nouvelles veulent bien nous faire croire…
Be’hadré ‘Harédim
Le Dr Yuval Maroz, anesthésiste à l’hôpital Hadassah Ein Kerem, n’est pas ému par les menaces des médecins de quitter le pays, ni par ceux qui sont déjà partis travailler à l’étranger.
« Je ne suis pas ému par le discours de délocalisation dans les médias. Cela ne fait que montrer la situation désespérée dans laquelle ils se trouvent dans cette ingénierie de l’esprit. À quel point est-ce désespéré ? L’un des deux professeurs qui partent a déjà annoncé qu’il reviendrait dans un année, et l’autre il y a quatre mois a déjà annoncé qu’il partait », explique le Dr Maroz dans une interview à Galé Israël.
Selon lui, « il y a une différence entre rejoindre facilement un groupe WhatsApp et vraiment partir à l’étranger, ce qui est une histoire compliquée et difficile. Ce n’est pas impossible mais c’est un processus très long qui nécessite de nombreuses approbations. À quel point sont-ils désespérés ? Les gens qui marchent avec des pancartes « Pas de démocratie – pas de santé » menacent d’aller aux Emirats où il y a une si merveilleuse démocratie, entre guillemets. »
« La décision des agences de publicité et des ingénieurs de l’esprit ne fonctionne pas toujours, tout comme comme l’échec de la grève de la semaine dernière » affirme le Dr Maroz.
