« On ne trouvera jamais d’Allemands en deuil pour Hitler », écrit-il, et poursuit : « Mais au Liban, des foules se lamentent sans honte pour Nasrallah, le leader sanglant du Hezbollah. C’est révoltant. »
Aimant Israël et exprimant souvent publiquement son soutien au peuple juif, le journaliste rappelle que Nasrallah n’est pas seulement responsable du meurtre de Juifs, mais aussi d’un massacre à grande échelle en Irak et en Syrie : « Ce monstre a massacré des bébés en Irak, en Israël et en Syrie, tout en inondant le monde de drogues. Et le gouvernement libanais ? Ils ont déroulé le tapis rouge pour la machine terroriste iranienne, rassemblé ses émissaires pour honorer cette abomination. »
« Pire encore, ils ont transformé l’accès à l’aéroport de Beyrouth en un sanctuaire dédié au massacre de masse, comme s’ils avaient érigé un monument à Hitler à l’aéroport de Berlin pour les nazis afin d’embellir ses horreurs. Ce n’est pas seulement honteux ; c’est une maladie persistante. Le Liban a été entraîné, depuis mille ans, dans les ténèbres. Une nation qui endure l’insupportable est condamnée à pourrir dans sa haine. »
Hier, des centaines de milliers de personnes ont défilé, et selon les estimations, plus d’un million de Libanais ont participé aux funérailles du grand meurtrier Hassan Nasrallah à Beyrouth. Pendant le cortège, des avions de chasse de l’Armée de l’air – des F‑15 et des F‑35, qui avaient participé à son élimination – ont survolé le cortège funèbre et perturbé les « festivités ».
