Des sources israéliennes ont rapporté des développements significatifs concernant l’accord en cours d’élaboration entre Israël et le Liban. Les Américains poussent pour parvenir à un accord pratique avant les élections aux États-Unis, avec l’espoir que l’armée israélienne commence à se retirer des villages du sud du Liban. L’accord en préparation inclut trois exigences principales posées par Israël.
Kikar haChabbath
Malgré la violation flagrante de la résolution 1701 par le Hezbollah et l’État libanais, des médiateurs internationaux travaillent ces derniers jours à un accord de cessez-le-feu dans le nord, sous la médiation de l’envoyé de la Maison-Blanche, Amos Hochstein.
Selon un rapport de Nadav Eyal sur Ynet, l’objectif de Hochstein est de conclure les détails de l’accord avant les élections américaines, pour que Tsahal commence à se retirer des villages du sud du Liban, ne maintenant une présence que dans certains points stratégiques jusqu’à la finalisation de l’accord définitif.
Cependant, jusqu’à ce qu’un accord final soit atteint, les combats se poursuivront sans changement. L’Iran, qui soutient le Hezbollah, l’encourage à conclure cet accord tout en déconnectant la situation de Gaza.
L’accord comprendrait une période d’adaptation de deux mois, pendant laquelle les deux parties cesseraient le feu, permettant d’évaluer le mécanisme de supervision et de vérifier s’il est solide ou s’il ressemble à la résolution 1701.
Le Hezbollah, ayant perdu de nombreux dirigeants et une quantité importante d’armement, a subi de lourdes pertes, mais en raison des pertes israéliennes récentes, il commence à se renforcer de nouveau. Israël souhaite donc le maintenir affaibli pour parvenir à un bon accord.
L’accord en cours d’élaboration repose sur trois principes :
- Application élargie de la résolution 1701 : Israël insiste pour qu’il n’y ait aucune présence des forces du Hezbollah au sud du Litani ni dans la région de Metula. L’armée libanaise devrait se déployer en nombre le long de la frontière nord, entre 5.000 et 10.000 soldats. La force de la FINUL actuelle serait renforcée, avec peut-être des bataillons français, britanniques et allemands pour remplacer certains des contingents actuels. Israël aurait approché ces pays pour évaluer leur disposition à y participer.
- Nouveau mécanisme de contrôle : sous supervision internationale, permettant au Liban et à Israël de signaler des violations de l’accord. Si Israël constate que le Hezbollah construit des infrastructures, tunnels, etc., au sud du Litani, Israël pourrait agir pour éliminer la menace sans attendre l’armée libanaise ou la FINUL.
- Prévention du réarmement accéléré du Hezbollah : Israël exige qu’une fois son retrait effectué, une interdiction d’introduction de matériel militaire « prohibé » par voie aérienne, maritime et terrestre soit imposée. La Russie a exprimé sa volonté d’aider à la mise en œuvre de cet accord et devrait jouer un rôle dans la stabilisation de la région au Liban et en Syrie. « La Russie aura un rôle spécial dans la mise en œuvre de cet accord et dans la prévention de nouvelles escalades », a déclaré une source étrangère impliquée dans le dossier.
Des discussions ont eu lieu entre Israël et la Russie pour qu’elle joue le rôle de médiateur extérieur, avec l’espoir qu’une telle implication russe favorise la stabilité.
N’importe quoi vraiment.
Avec les etats unis democrates rien d’etonnant.
Leurs accords de faux frères sont des poignards dans le dos.
Qaïn.
Favoriser ces democrates et leur faire confiance serait suicidaire.
Le pire : ils essayent de s’appuyer sur les résultats (volontairement ???) inquiétants du haut commandement de notre armée.
L’efficacité du haut commandement de Tsahal fait peur…
ILS NOUS REFONT LE MÊME COUP QUE LES ACCORDS D’OSLO.
UNE SUPERCHERIE DANGEREUSE ET LAMENTABLE SOUTENUE PAR LA GAUCHE ET LA CONCEPTIAH.
LISEZ PLUTÔT.
https://www.jewishpress.com/indepth/opinions/the-day-after-must-be-different-than-the-day-before/2024/10/29/
J’ai bien vérifier, nous ne sommes pas le 1er avril ?