Il y a huit ans, la grand-mère de la jeune fille s’est installée en Israël avec ses trois enfants, après le décès du chef de famille.
La famille a déménagé dans une ville mixte avec une importante population arabe.
La famille a eu du mal à s’adapter et s’est retrouvée dans une situation financière extrêmement difficile.
L’un des trois enfants, une fille, a rapidement quitté l’école et s’est finalement mariée avec un arabe de la ville.
Il y a deux ans, la jeune femme a donné naissance à une fille, Yasmin, qui a d’abord été élevée par sa grand-mère juive.
Après la mort de sa grand-mère juive, le mari arabe de la jeune femme l’a exhortée à laisser sa mère s’occuper de Yasmin. La jeune femme a accepté et sa belle-mère s’est occupée de Yasmin le temps qu’elle se remette de la perte de sa mère.
Le père de Yasmin a été arrêté et placé en prison peu après pour vols.
À ce moment-là, sa mère – la grand-mère arabe de Yasmin – a demandé à un tribunal de lui accorder la garde complète de Yasmin.
Le tribunal a accepté la demande de la grand-mère arabe et a transmis le dossier au ministère de l’Aide sociale sans obtenir au préalable l’autorisation de la mère de Yasmin, selon les avocats de Yad Lea’him, il s’agit d’une violation du droit de la famille.
Le ministère a accepté la recommandation du tribunal et a accordé la garde complète à la grand-mère arabe de Yasmin pendant six mois.
À la fin de la période de six mois, le tribunal a de nouveau contacté le ministère de l’Aide sociale pour prolonger de six mois la garde de Yasmin par la grand-mère et a formellement recommandé de lui accorder la garde permanente.
Et bien évidemment, le tribunal a confié la garde permanente à la grand-mère.
Durant les 6 mois supplémentaires, la mère de Yasmin a quitté son mari arabe et cherché à récupérer la garde de sa fille, qu’elle souhaite élever dans un milieu juif.
Elle a demandé à sa belle-mère de lui rendre Yasmin mais on lui a présenté un document officiel signé par le tribunal indiquant que l’enfant devait rester avec sa grand-mère arabe jusqu’à sa majorité !
La mère de Yasmin s’est alors adressée à Yad Lea’him pour obtenir de l’aide afin de récupérer la garde de sa fille.
Les avocats du groupe ont déposé une requête devant le tribunal de la famille demandant que la décision du tribunal soit annulée, affirmant que la décision avait été prise sans consultation de la mère de Yasmin.
« Nous ne nous reposerons pas tant que le bébé ne sera pas remis aux mains de sa mère juive », a déclaré Yad Lea’him, dans un communiqué.
« Si nécessaire, nous irons à la Cour suprême pour protester contre le vol d’un enfant juif à sa mère. »
Source Koide9enisrael