Une controverse qui a commencé il y a 50 ans concernant une concession funéraire à Bené Brak s’est achevée la semaine dernière à la suite d’un bouleversement particulièrement surprenant. Première publication du cas extraordinaire du Juif qui a acheté une parcelle de terrain il y a environ cinquante ans dans ce qui a ouvert une saga de longue durée avec une fin surprenante.
Be’hadré ‘Haredim – Cimetière de Bené Photo: Flash 90
Un différend sur une parcelle de terrain du cimetière Chomré Chabbath de Zichron Meir à Bené Brak par un Juif touche à sa fin cette semaine de manière particulièrement surprenante. Ce Juif qui a acheté le terrain à Bnei Brak autour duquel la controverse de longue date a surgi a ensuite été enterré dans un cimetière à Jérusalem. L’histoire s’est compliquée lorsque son fils, qui malheureusement ne respecte pas la Tora et les mitsvoth, a affirmé que le tombeau lui appartenait maintenant. Mais la direction du cimetière, réservé aux personnes respectant le Chabbath, prétendait en revanche qu’il n’acquit qu’un droit d’inhumation et non un droit à la parcelle, et si son père n’était pas enterré sur place, la parcelle revenait à la direction du cimetière et n’était pas transmissible par voie d’héritage.
Pendant de nombreuses années, la question de ce différent est restée indécise et, par conséquent, le terrain funéraire n’a été vendu à personne, car dans une telle situation, quiconque voulait acheter le terrain devait payer le double à la fois à la direction de la maison et au fils de l’acheteur dont le père n’a pas été enterré à la fin.
Au cours de la dernière année, une certaine personne a exprimé son désir d’acheter une telle concession à Bené Brak. Il en a parlé à l’un des militants de la ville, qui lui a suggéré, comme le cimetière des Chomré Chabbath ne vend pas de tombeau du vivant des gens (car il y a une grande pénurie de place dans ce cimetière), de se diriger vers cette concession. Les négociations ont duré plusieurs mois, accompagnées d’avocats et de juristes, jusqu’à ce que les parties parviennent à un accord et signent un contrat mardi dernier, le premier Iyar.
L’histoire ne s’arrête pas là. Le lendemain, Mme Shoshana Hindel Milt d’Anvers, Belgique, est décédée subitement à l’âge de 69 ans. Il s’avère miraculeusement que la personne qui voulait acheter le terrain, le voulait pour le défunt, de sorte que le lendemain de la signature du contrat, elle est décédée et a été amenée jeudi dernier pour être enterrée en cette place !
L’un des grands rabbanim qui a entendu cette histoire incroyable a dit qu’il est possible que cette femme devait déjà disparaître il y a un an et qu’elle a eu droit à ce que par la grâce de Dieu sa vie a été prolongée jusqu’à ce qu’elle ait une tombe en Israël.
Elle a été enterrée juste à côté du ‘Hazon Ich, et de sa mère, qui est également enterrée dans la même rangée, ainsi que de sa grand-mère, qui est enterrée à proximité.
