Suite au drame de Méron, les compagnies d’assurance refusent d’assurer ce qui s’y passe

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Depuis une semaine et demie, il n’y a aucune assurance pour les milliers de fidèles qui visitent le lieu chaque jour. Signification : s’il un quelconque préjudice y est fait, aucune compensation monétaire ne sera attribuée. Le directeur du complexe, Eli Freund, s’est adressé au procureur général Mandelblit et lui a demandé de fournir une assurance au nom de l’État.

JDN

La Commission d’enquête d’État sur la catastrophe de Méron est toujours en train de formuler ses conclusions provisoires concernant la tenue de la prochaine célébration de Lag BaOmer, et en attendant un danger d’annulation plane sur l’événement précisément d’une direction inattendue : Vint a rapporté qu’aucune compagnie d’assurance n’accepte d’assurer le lieu. Signification : les milliers de visiteurs, qui continuent à le visiter quotidiennement, n’ont aucune assurance. Autrement dit, s’ils subissent des lésions corporelles, ils ne recevront aucune compensation monétaire.

Selon le rapport de Kobi Nachshoni, il y a dix jours – fin octobre – la période d’assurance précédente a pris fin, et depuis hier soir (mardi) toutes les compagnies d’assurance contactées par la direction du complexe ont refusé d’assurer l’endroit contre les dommages qui pourraient être causés, à la fois en semaine et lors de grands événements.

Des milliers de personnes continuent de venir sur le site chaque jour, et elles ne sont pas conscientes du problème. De plus, les entreprises refusent de sécuriser d’autres lieux saints lors de grandes célébrations, comme le jour de la mort de notre mère Rachel, qui a été célébré le mois dernier à Bethléem, ou celui du Rambam au cimetière de Tibériade le mois prochain.

Le complexe du tombeau Rashbi à Méron est géré jusqu’à présent par le « Comité des Cinq » – un organisme privé qui le représente.

Il y a environ deux semaines, le directeur du complexe au nom du comité, Eli Freund, s’est adressé au procureur général, lui demandant de trouver une solution au problème et de fournir une assurance au nom de l’État – même si le comité des cinq n’est pas gouvernemental. Le sous-procureur général, l’avocat Carmit Ulysses, a répondu : « À la lumière de la complexité de la situation et de l’intérêt public manifeste pour l’exploitation du complexe de la tombe de Rashbi, je noterai que tant qu’un fonctionnaire du gouvernement cherchera à créer un accord d’assurance ou « quasi-assurance » Nous ferons de notre mieux pour soutenir et assister le déménagement. »

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