Un sondage réalisé par Direct Polls et diffusé sur la chaîne 14 révèle une progression spectaculaire de la coalition, atteignant un record de 63 sièges, le plus haut chiffre depuis la formation du gouvernement il y a deux ans. Benjamin Netanyahou renforce également sa position en termes de sièges et de soutien comme Premier ministre, tandis qu’Israël Beitenou de Lieberman subit un affaiblissement significatif.
Par ‘Harédim 10
Selon le sondage publié ce jeudi soir dans l’édition centrale de la chaîne 14 :
- La coalition menée par Netanyahou progresse de manière spectaculaire et atteint 63 sièges, un record depuis la formation du gouvernement.
- Israël Beitenou recule de 4 sièges, passant de 15 à 11.
- Le Likoud gagne 3 sièges et atteint 34, principalement au détriment d’Israël Beitenou et de Ben Gvir, dont le parti perd 2 sièges et descend à 6.
- Yesh Atid de Lapid gagne 2 sièges pour atteindre 10, probablement également au détriment de Lieberman.
- Le parti sioniste religieux de Smotrich progresse d’un siège pour atteindre 5, s’éloignant ainsi du seuil électoral.
Répartition des blocs :
- Coalition : 63 sièges
- Opposition : 47 sièges
- Partis arabes : 10 sièges
Soutien à Netanyahou pour le poste de Premier ministre
Le sondage montre également un renforcement significatif et clair du soutien à Netanyahou :
- Face à Benny Gantz, Netanyahou obtient 52 % contre 45 % lors du sondage précédent. Gantz chute de 5 points à 21 %, tandis que 27 % des répondants déclarent qu’aucun des deux ne convient.
- Face à Yair Lapid, Netanyahou obtient 53 % contre 46 % dans le précédent sondage. Lapid perd 1 point, tombant à 22 %, tandis que 25 % estiment qu’aucun des deux n’est adapté.
Gestion de la guerre contre le Hezbollah
Le sondage révèle que 75 % des citoyens sont satisfaits de la gestion de la guerre contre le Hezbollah par le Premier ministre Benjamin Netanyahou :
- 49 % jugent la gestion « très réussie ».
- 26 % considèrent qu’elle a été « réussie ».
- 18 % qualifient la gestion de la guerre d’ »échec total ».
- 7 % estiment qu’elle a été un échec sans être catégorique.
Ces résultats montrent un soutien large au leadership de Netanyahou dans un contexte de tensions régionales et de guerre prolongée.