On peut définitivement décréter que les ONG israéliennes telles que Shovrim Shetika ou B’Tselem, pour ne citer qu’elles, toutes financées par le New Israel Fund, ont passé du côté de l’ennemi. Comment définir autrement leur propention à calomnier ainsi les soldats de Tsahal dans les médias étrangers qui n’attendent que cela?
Le quotidien britannique The Guardian, déjà très anti-israélien, a ouvert ses colonnes à Shovrim Shetika pour une tribune concernant la situation à la frontière entre Israël et la bande de Gaza.
Dans cet article qui a également paru dans Haaretz, les dirigeants de cette ONG écrivent: “Nous, anciens camarades des tireurs d’élite qui sont sur place, souhaitons exprimer nos sentiments, choqués concernant les événements qui se déroulent à la frontière entre Israël et la bande de Gaza. Lorsque nous entendons que des ordres sont donnés aux soldats de tirer sur des manifestants désarmés, nous nous emplissons de honte et de douleur”.
Plus loin, ces traîtres à leur peuple écrivent: “Tout jugement moral a complètement disparu et nous éprouvons de la peine pour ces jeunes soldats, qui comme nous l’avons déjà vécu, auront devant les yeux durant toute leur vie ce qu’ils ont vu à travers le viseur de leur fusil (…). L’ordre donné aux tireurs d’élite de tirer sur des manifestants désarmés et qui ne représentent aucun danger pour la vie humaine est la résultante directe de l’occupation militaire sur des millions de Palestiniens (?), de l’ivresse des sentiments et de la perte de tout sens moral de la part du leadership israélien. L’atteinte à des innocents (sic) est la conséquence logique du contrôle militaire sur le peuple palestinien”.
Photo Hadas Parush / Flash 90
Source www.lphinfo.com