Reconnue par 60% des pays du monde, une Cour pénale internationale (CPI) a été formée il y a 22 ans pour traiter des crimes de guerre, cour à compétence limitée, ancrée dans les principes de complémentarité. Et comme la plupart des institutions internationales actuelles, dont l’Onu et ses émanations, elle est régie en grande partie par des individus issus de pays autoritaires ou dictatoriaux, comme le sont 80% des pays dans le monde d’aujourd’hui.
Et voilà que Karim Khan, avocat britannique, procureur de la CPI, décide d’émettre des mandats d’arrêt contre le 1er ministre Benjamin Netanyahu et l’ex-ministre de la Défense Yoav Galant pour des allégations de graves crimes de guerre.
Ce musulman né en Ecosse est un antisémite notoire, accusé d’abus et de harcèlements sexuels. Il a été nommé comme adjoint en 2017 par un autre antisémite notoire, le secrétaire général des Nations Unies, António Guterres, puis élu procureur général de la CPI en 2021.
Le « génocide » est celui des terroristes du Hamas et du Hezbollah, sous les ordres de l’Iran, ceux qui tuent à bout portant les juifs et leurs coreligionnaires qui refusent leurs diktats de mort et laissent ceux qui refusent leurs diktats de mort et laissent mourir ceux qui leur servent de bouclier humain.
Israël et ses dirigeants se défendent légitimement contre ce « génocide » prémédité selon les préjugés antisémites repris aussi bien par la CPI que par l’Onu.
Tom Cotton sénateur de l’Arkansas : « La CPI est un tribunal kangourou, et Karim Khan est un fanatique dérangé. Malheur à lui et à quiconque tente d’appliquer ces mandats illégaux »
En insistant sur l’équivalence des actions d’Israël et des actes terroristes, la CPI
valorise le terrorisme, ce qui est scandaleux. Israël lutte pour sa survie, alors que le Hamas est une organisation terroriste violente qui a perpétré le pire massacre de Juifs depuis l’Holocauste, un pogrom, et qui détient toujours des dizaines d’innocents en otage.
A la suite des mandats d’arrêts contre les 2 dirigeants israéliens, les pays démocratiques devraient prendre des sanctions contre les responsables de la CPI.
Le secrétaire d’État américain Antony Blinken : « Bien qu’il ne soit pas membre de la Cour, Israël était prêt à coopérer avec le Procureur. En fait, le Procureur lui-même devait se rendre en Israël dès la semaine prochaine pour discuter de l’enquête et entendre le gouvernement israélien. Israël a été informé qu’il n’avait pas embarqué sur son vol à peu près au même moment où le Procureur est passé à la télévision par câble pour annoncer les charges. Ces circonstances et d’autres remettent en question la légitimité et la crédibilité de cette enquête. »
Un porte-parole du Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche : « La CPI n’est pas compétente juridiquement dans cette affaire… Nous restons profondément préoccupés par l’empressement du procureur à réclamer des mandats d’arrêt et par les erreurs troublantes dans le processus qui a mené à cette décision »
Le sénateur Lindsey Graham, proche de Donald Trump : « La CPI a agi de la manière la plus absurde et la plus irresponsable qui soit … Il est temps que le Sénat américain agisse et sanctionne cet organisme irresponsable ».
Le nouveau chef de la majorité au Sénat américain, John Thune : « La Chambre des représentants a déjà adopté un projet de loi sanctionnant la CPI »
Maître Léon Rozenbaum : « La Cour Pénale Internationale est devenue criminelle.
La CPI viole le traité de Rome qui l’a instituée, son règlement, ses propres usages et commet l’infraction de crime contre le Peuple Juif en tentant cyniquement de le traiter comme un paria ».
En transformant un Israël démocratique en criminel de guerre, pour avoir mené une guerre juste pour sa survie, la CPI perd toute pertinence. Le fait que la CPI s’en prenne aux dirigeants d’une démocratie pourrait conduire d’autres pays que la Tchécoslovaquie à quitter la Cour, craignant d’être eux aussi accusés de crimes de guerre dans une bataille contre des groupes terroristes.
Depuis l’annonce de la décision de la CPI, le ministre israélien des Affaires étrangères, Guidon Saar, s’entretient avec ses homologues dans le monde afin de leur expliquer pourquoi ils ne doivent pas se conformer à ce jugement.