C’est un simple « post », qui a enflammé hier (jeudi) les réseaux sociaux israéliens et relancé le débat sur les soins et premiers secours dispensés aux terroristes, une fois mis hors d’état de nuire.
Retour sur les faits : 9 h 30, une terroriste arabe s’approche des soldats en faction devant la localité de Mevo Dotan en Samarie, elle poignarde au ventre l’un d’entre eux avant d’être « neutralisée ». Comme toujours, les secours arrivent très rapidement. Deux équipes sont sur place, l’une militaire et la seconde du Maguen David Adom. Les secouristes évaluent d’emblée le degré des blessures et estiment que la terroristes est grièvement atteinte alors que le soldat, bien que blessé, est hors de danger. Ils vont donc pratiquer une réanimation auprès de celle qui, quelques instants plus tôt, avait entrepris de semer la mort.
Un infirmier assiste à la scène assez incongrue : le soldat blessé qui attend son tour, assis sur le côté de la route alors que toute une troupe de paramédiques, s’affairent à redonner vie à la terroriste. Il prend un cliché, le publie sur sa page Facebook et déclenche une tempête.
« Le seul critère, sauver des vies »
Les réactions sont très vives. Nombreux sont ceux qui déplorent la priorité de soins, accordée à une terroriste et fustigent l’éthique et la déontologie des secouristes. « Comment puis-je expliquer à mon fils que si demain un terroriste tente de le tuer, il devra passer après lui à l’hôpital, nous marchons sur la tête », s’indigne une mère de famille. A l’inverse, de nombreux infirmiers militaires et médecins interviennent également dans les conversations expliquant qu’il n’y a rien de bien spécial dans cette histoire. « Nous avons tous prêté serment », écrit l’un d’entre eux. « Vous n’imaginez pas que nous traitions les blessé en fonction de leurs origines ou de la situation. Le seul critère qui importe lors de nos interventions, c’est de sauver des vies. Pour ce faire, nous traitons d’abord les cas urgents ».
Quant au soldat blessé, même s’il n’a pas été traité en priorité, il a été évacué rapidement vers un hôpital du centre du pays. Très légèrement atteint, il a pu regagner son domicile en soirée.
Source : http://coolamnews.com/reseaux-sociaux-senflamment-terroriste-soignee-soldat-poignarde-patiente/
La déontologie médicale consiste à soigner en premier la personne dont les soins sont les plus urgents.
Le problème, bien compréhensible d’un point de vue éthique, est quand l’un des deux blessés est le meurtrier doit-on le soigner ou le laisser mourir ?
C’est le fond de la question.
Si deux personnes sont blessées et que l’une l’est plus grièvement que l’autre, la déontologie médicale dit que la personne dont les jours sont le plus menacés par ses blessures doit être soignée en premier.
Le serment d’Hippocrate, auquel doivent se plier inévitablement tous les médecins qui exercent, dit qu’il ne faut faire aucune différence entre les patients, à quelque niveau que cela soit, c’est ce qui fait d’ailleurs toute la noblesse du métier.
Mais lorsque cette personne est un assassin, cette règle s’applique-t-elle encore ?
Mon avis est que oui. D’autres auront un avis contraire pour des raisons que je comprends complètement et qui sont tout-à-fait légitimes. Mais objectivement, il est fondamental de protéger et de défendre le serment d’Hippocrate car il est la garantie de l’indépendance des médecins et de leur obligation de soin pour tout le monde !
La pire chose que l’on puisse faire, c’est d’exercer des pressions sur les médecins qui sont déjà très sous pression, en permanence.
Vous pensez qu’un médecin n’a jamais envie de rompre le serment d’Hippocrate ??
Vous pensez que ça lui est facile de ne pas regarder qui il soigne, quand c’est un violeur, un assassin, un membre d’une organisation néo-nazie ??
Ce dilemme revient souvent chez les médecins et les torture beaucoup, et il est très bien illustré dans les 8 premières saisons de la série télévisée Urgences qui est créé par Michael Chrichton (un ancien étudiant en médecine) avec l’encadrement de plusieurs personnes du corps médical vérifiant tous les éléments de la série.
A voir, pour ceux qui n’ont jamais vue !
Cher Monsieur,
Votre position est tout à fait louable, sauf qu’elle est déconnectée de la réalité. Cette réalité s’appelle la guerre, le djihad et l’islam, en d’autres termes la volonté de l’islam d’asservir le monde entier aux délires d’un chamelier analphabète du VIIe siècle.
Pendant que des médecins se gaussent de leur éthique, des millions s’islamistes se plient de rire et se moquent ouvertement de notre éthique complètement stupide. Oui, laisser souffrir une victime pendant qu’on prend soin d’un assassin décide à mourir en martyr, ce n’est pas éthique, c’est idiot et criminel. Je ne dis pas qu’il faut achever les terroristes (quoique…), mais il n’y a aucune raison de les traiter en priorité.
Du reste, il est bien beau de respecter le serment d’Hypocrate ; il serait encore plus judicieux pour les médecins juifs de respecter le serment prononce au Mont Sinai lors de la réception de la Tora.
Les valeurs morales du monde non-juif sont ce qu’elles sont. Elles sont relatives, et varient avec les circonstances. Vous noterez que les seuls imbéciles à respecter ces valeurs morales non-juives sont uniquement des Juifs : en pareille situation, aucune armée dirigée par des gens ayant au moins un gramme de cervelle ne fera la même chose. Imagine-t-on un médecin soviétique ou américain soigner en priorité un blesse nazi ou japonais en 1942 ?? Eh oui, si on a le droit d’être bête, ce n’est heureusement pas une obligation…
La Tora nous enseigne: celui qui a pitié des gens cruels finira par être cruel envers les gens qui méritent la pitié. La seule définition de la morale qui soit valable de manière absolue ne peut être que la Tora, expression de la volonté du Créateur.
Cessons d’être stupides. Si le serment d’Hypocrate s’oppose à notre éthique JUIVE ou même au simple bon sens, alors mettons à jour le serment d’Hypocrate ou ignorons-le.