Refusés en Jordanie pour avoir des Tefilinnes dans leurs affaires !

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Des agents d’assurance juifs ont été détenus et n’ont pas été autorisés à entrer en Jordanie…

Hidabrouth – Shira Dabush (Cohen)

Sept agents d’assurance qui ont voulu entrer en Jordanie avec un groupe de 40 agents ont été arrêtés et n’ont finalement pas été autorisés à entrer en Jordanie, à cause des tefilinnes qu’ils emportaient avec eux. « On nous a dit qu’ils n’étaient pas prêts à ce qu’un symbole religieux entre dans leur pays ».

Sept agents d’assurance qui ont quitté leur lieu de travail pour un voyage en Jordanie, avec un groupe de 40 agents – ont été renvoyés en Israël après qu’on ait découvert au poste frontière avec la Jordanie qu’il y avait des paires de tefilinnes dans leur sac.

« Jamais de ma vie une telle chose ne m’est arrivée », a déclaré à N12 l’un des agents, un dénommé Amit. Les Jordaniens ont vérifié les tefilinnes mais lorsqu’ils ont terminé, on a dit aux agents qu’ils ne pouvaient pas entrer dans en Jordanie. « Ils ont pris les tefilinnes et ont pris les passeports, et nous ont mis dans une pièce. J’ai vu d’autres amis qui m’ont dépassé avant le contrôle, et ils ont dit qu’ils n’étaient pas disposés à ce que nous mettions les tefilinnes, car c’est un signe religieux et ne doivent pas être introduits en Jordanie. À leur grande surprise, les Jordaniens leur proposaient de laisser les tefilinnes sur place et ils les leur rendraient à leur retour en Israël.

Mais ils ont refusé avec véhémence.

Amit, qui met les tefilinnes depuis 28 ans, a déclaré que dès le début, il était clair qu’ils allaient avoir des problèmes. « Ils nous ont demandé d’ouvrir les valises, de sortir les tefilinnes et de les mettre de côté. Ils cherchaient juste les tefilinnes. Nous leur avons expliqué que nous ne mettrions les tefilinnes que dans la chambre d’hôtel et c’est important pour nous, traitez les tefilinnes avec respect. »

À un moment donné, lorsqu’un collègue a vu que l’examinateur du terminal manquait de respect aux tefilinnes, il a osé dire que « c’est quelque chose qui est sacré pour nous », mais selon lui, l’examinateur n’en a pas tenu compte. « C’était un sentiment vraiment désagréable. Jamais de ma vie quelque chose comme ça ne m’est arrivé, où que j’aie été dans le monde. C’est délirant de venir faire quelque chose comme ça à propos de vos connaissances, de quelque chose en quoi vous croyez. Je mets els tefilinnes depuis la bar-mitsva, depuis 28 ans tous les matins. Si cela avait été pour un chrétien ou un musulman, je suis sûr qu’il y aurait là toute une histoire et un gros scandale », conclut-il.

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