Dans le contexte des contacts entre Abbas (notre photo) et Shaked, un responsable du parti Ra’am affirme que la crise n’aurait pas atteint la situation actuelle si le parti s’était lié avec Netanyahou : « Avec lui, nous n’aurions pas atteint cette situation. » | « Le gouvernement actuel n’a aucune légitimité publique «
Be’hadré ‘Harédim
Selon un haut responsable du parti, cité par le journaliste Muhammad Majadele, si le Premier ministre était allé former un gouvernement avec le président de l’opposition, la crise n’aurait pas atteint cette situation, et elle aurait probablement été résolue depuis longtemps.
« Si nous avions formé un gouvernement avec Netanyahu, nous n’aurions pas atteint cette situation », a affirmé la source, attaquant les dirigeants de Yemina : « Shaked et Bennett n’ont pas le courage et la légitimité publique pour prendre des décisions que les gouvernements de Netanyahu ont fait dans le passé. »
Pendant ce temps, la ministre de l’Intérieur Ayelet Shaked a rencontré Abbas, bien que le parti de ce dernier ait annoncé qu’il s’opposerait à la loi. Un compromis envisagé entre les deux parties était que la loi sera prolongée de six mois et non d’un an, et qu’environ 1 400 familles seraient reclassées.
Malgré l’accord pour parvenir à un compromis, les députés Mazen Ghanaim et Said Al-Kharomi du parti Ra’am ont annoncé qu’ils s’opposeraient à la loi dans tous les cas. De là, le rejet de cette loi en fin de parcours.