L’ayatollah Ebrahim Raisi, l’homme considéré comme le principal candidat pour succéder au guide suprême l’ayatollah Ali Khamenei, a visité la frontière libano-israélienne accompagné par des combattants du mouvement terroriste chiite libanais Hezbollah le mois dernier… Détails…
Cette visite a été rendue publique par le général de נrigade Shimon Shapira, chercheur au Centre des affaires publiques de Jérusalem, qui était auparavant secrétaire militaire au cabinet du Premier ministre.
Sur les photos officielles de la visite de Raisi à la frontière, les visages des combattants du Hezbollah étaient flous.
Raisi, un membre de l’Assemblée des experts iraniens, n’est que la dernière grande personnalité iranienne à se rendre au Sud-Liban suite aux récents rapports selon lesquels des bataillons chiites irakiens sous commandement iranien auraient été déployés le long de la frontière avec Israël.
Au Liban, Raisi a rencontré le chef du Hezbollah Hassan Nasrallah, un haut responsable du Hezbollah Hashim Safi Al Din, le président du Parlement libanais Nabih Berri et le président du Conseil suprême islamique chiite Abdel Amir Kabalan.
Raisi a également visité les familles d’anciens commandants militaires du Hezbollah, Mustafa Badreddine et Imad Mughniyeh, tous deux tués en Syrie.
Lors de sa visite, Raisi a proclamé que « la libération de Jérusalem est proche » et a salué le rôle du Hezbollah en tant que mouvement qui, a-t-il dit, est dédié à la création d’une culture islamique au Liban.
Raisi a également visité les familles d’anciens commandants militaires du Hezbollah, Mustafa Badreddine et Imad Mughniyeh, tous deux tués en Syrie.
Lors de sa visite, Raisi a proclamé que « la libération de Jérusalem est proche » et a salué le rôle du Hezbollah en tant que mouvement qui, a-t-il dit, est dédié à la création d’une culture islamique au Liban.
Source Koide9enisrael