Les “pressions” diplomatiques adressées directement et indirectement sur le gouvernement de l’Etat d’Israël afin qu’il diminue, arrête, interrompe, etc, sa riposte militaire aux crimes contre l’Humanité perpétrés par la bande criminelle Hamas et consorts civils et militaires appelle quelques éléments de réponse à ces arrogantes requêtes.
1- Les Etats prescripteurs de “modération”, de critiques, etc, à l’endroit d’Israël sont ceux qui ont tués collatéralement des centaines de milliers de civils lors de leurs interventions militaires en Afrique (France, etc), au Moyen-Orient (France, Royaume-uni, Russie, USA, etc) et ailleurs dans le monde.
2- Ces Etats ne tiennent nullement compte des dispositions militaires de sauvetage des civils utilisés par le Hamas à Gaza en boucliers humains. Ils n’ont jamais appliqué ces dispositions miliaires israéliennes uniques au monde et qui sauvent des vies civiles et militaires palestiniennes et tuent des vies civiles et militaires israéliennes.
3- Les Etats qui ont entretenu ou entretiennent des liens avec le Hamas ne formulent aucune pression à la mesure de leurs influences auprès du Hamas pour la libération des otages qu’il retient à Gaza en les martyrisant.
4- Le degré de pression diplomatique sur la victime israélienne épargne par son absence celui sur le Hamas, criminel de guerre et contre l’Humanité !
5- Le lynchage diplomatique de l’ONU à l’endroit d’Israël est sans précédent à l’égard d’un Etat en défense, appliqué par le moyen d’une majorité automatique de dictatures sanguinaires et alliés occidentaux, exécuté par des responsables de l’ONU inféodés à ces dictatures selon différents moyens mis à leurs dispositions par le secrétaire général de l’ONU et contraires à sa propre Charte comme à la réglementation internationale et au Droit international public.
6- Il est patent que les manquements de l’ONU aux devoirs de sa charge et la déferlante des Etats hostiles à Israël à inverser la norme de Droit ne facilitent guère et ralentissent la guerre en défense que Jérusalem mène à Gaza et le retour de la population israélienne déplacée par sécurité en ses foyers frontaliers de Gaza et du Liban.
7- Dans ces circonstances de violations de toutes les normes de Droit par ceux-là-même qui ont la charge de les appliquer, il convient d’encourager le gouvernement israélien à ne pas céder à ces pressions.
Ces pressions sont circonstanciées, uniques et manifestement hostiles envers Israël.
8- Compte tenu du caractère essentiel du combat qu’Israël mène à Gaza et ailleurs, Jérusalem mettrait son existence en péril en se soumettant aux injonctions illégitimes qui correspondent non aux intérêts vitaux d’Israël mais à ceux, électoraux pour les démocraties, et stratégiques pour les dictatures, de ceux qui se les permettent au nom d’un Droit inexistant et sur des faits inavérés.
9- Une fois la victoire de la démocratie israélienne achevée, il ne serait pas inconvenant que les représentants de son peuple souverain procède à des modifications diplomatiques dans un sens plus conforme à sa puissance générale et régionale et aux intérêts existentiels de sa population.
Autrement dit, Jérusalem ne pourra économiser un examen complet des comportements des Etats et organisations à l’égard de son peuple en menace d’élimination.
Israël dispose, à cet effet, d’une économie et d’une finance qui le lui permettent.