Poutine dénonce le massacre de Moscou tout en s’alignant avec les responsables du génocide du 7 octobre
Suite au terrible massacre survenu vendredi à la salle de concert Crocus City Hall, en banlieue de Moscou, le président russe Vladimir Poutine a adressé un discours vidéo à la nation. Il a qualifié le meurtre de « dizaines de personnes pacifiques et innocentes… dont des enfants, des adolescents et des femmes » d’« acte terroriste sanglant et barbare ».
Cette hypocrisie est d’autant plus flagrante lorsque l’on examine les relations de Poutine avec l’Iran, principal sponsor du terrorisme mondial, et ses alliés, comme le Hamas. Moins de trois semaines après l’attaque de Moscou, la Russie a accueilli une délégation d’importants responsables du Hamas pour discuter de la soi-disant « lutte contre les crimes sionistes soutenus par les États-Unis et l’Occident ». Il est ironique de voir Poutine condamner le terrorisme tout en cherchant à renforcer ses liens avec des groupes terroristes notoires.
De plus, la Russie a récemment organisé des pourparlers entre différentes factions palestiniennes, y compris le Hamas et le Jihad islamique, dans le but de former un gouvernement palestinien unifié. Cette initiative, bien qu’elle vise officiellement à promouvoir la paix, soulève des inquiétudes quant au soutien de la Russie aux organisations terroristes et à leurs objectifs destructeurs.
En fin de compte, les actions de Poutine révèlent une hypocrisie flagrante et une politique opportuniste. Malgré ses discours contre le terrorisme, ses alliances et ses actions sur la scène internationale contredisent ses paroles. Son soutien aux groupes terroristes et ses tentatives de déstabilisation ne font que renforcer les tensions mondiales et compromettre la sécurité mondiale.
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