Pour ne pas finir par demander la Tsedaka au Country Club…

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Autour de la table de Chabbath, n° 447 Pin’has

Amour ou colère ?

Cette semaine notre paracha traite en ses débuts d’un acte de grande bravoure. Il s’agit de Pin’has petit fils d’Aharon HaCohen qui a pris une lance et transperça un homme de la communauté qui fautait avec une fille de Midian au vu et au su de tous. Le déroulement de cet événement est raconté à la fin de la paracha précédente (Balak). On se souvient, Bil’am le sorcier n’ayant pas réussi à maudire le Clall Israël est répudié par son commanditaire Balak le roi de Moav. Cependant avant d’être congédié, Bil’am donnera au roi le conseil de prostituer les filles de Moav et de Midian (deux monarchies de la région) afin de faire trébucher les Bené Israël dans la faute. Bil’am sait que le D’ d’Israël a en horreur la débauche. De plus, au moment propice la fille sortira une idole en demandant au jeune Hébreu de se prosterner devant la statuette… Les résultats ne se firent pas attendre, Hachem punira les fautifs et 24.000 hommes périrent dans une épidémie. Dans ce moment de grandes tensions, un chef de la tribu de Chim’on, Zimri ben Salou s’approcha de Moché avec une fille du roi de Midian et demandera avec beaucoup d’arrogance : « Cette fille est permise ou non? Et si tu me l’interdis alors pourquoi es-tu marié avec la fille de Yitro (prêtre midianite de culte idolâtre) ? » L’homme s’isola avec la fille dans une tente et la stupeur s’empara du Clall Israël. C’est alors que Pin’has se rappelant une halakha (loi) prit sa lance et transperça les fauteurs. Suite à cela, l’épidémie s’arrêta et la colère divine s’apaisa. En récompense de son acte, Pin’has sera anobli « Cohen » et de plus il recevra l’alliance de la paix, c’est-à-dire qu’il vivra longtemps encore (nos sources enseignent que Pin’has est devenu le prophète Eliahou qui est monté vivant au Ciel).

Cependant, il faut savoir que cet acte n’est pas donné à n’importe qui. En effet, d’une manière générale il est interdit de punir le fauteur. Il faut obligatoirement un témoignage, un tribunal et une sentence (de nos jours puisqu’il n’existe pas de Sanhédrin avec ses juges, il n’y a pas de possibilités de punir le fauteur).

L’événement est sensationnel, mais il se peut que parmi nos lecteurs beaucoup pourraient se dire que la violence parmi les gens qui pratiquent les religions n’est pas une chose inconnue. De nos jours, combien de mouvements extrémistes sous prétexte d’un soi-disant alibi religieux tuent et assassinent des peuplades entières. Donc qu’est-ce qui distingue l’acte du Tsadik, Pin’has, de tous ces débordements extrémistes?

La réponse évidente c’est qu’il convient de faire une distinction entre la loi de Moché et toutes les autres religions. Mais il faut quand même savoir que la loi de Moché a été dévoilée devant près de 3 millions d’individus au mont Sinaï (c’est marqué noir sur blanc dans la parache de Yitro et de Vaét’hanan). C’est que le peuple juif a été TEMOIN dans son ensemble du grand dévoilement de la Tora par D’ à Son peuple. C’est un événement historique qui remonte à près de 3.300 ans mais qui valide la véracité de notre transmission. Pour toutes les autres religions monothéistes c’est différent. Dans tous les cas, il s’agit d’un « prophète» qui a dit à ses disciples qu’il a reçu la parole de Hachem. Donc TOUTES les grandes religions sont basées au départ sur un seul homme qui dit avoir reçu un message divin… Mais, lorsque Pin’has punit les coupables, il le fait en adéquation avec la loi de Hachem.

La seconde grande différence (avec les actes extrémistes) c’est à partir de l’enseignement du Messilat Yecharim (ch. 19). Il enseigne un beau ‘Hidouch. L’esprit de vengeance qui peut animer un Tsadik provient de l’amour de D’. C’est-à-dire qu’un homme développe son amour vis-à-vis de son Créateur en observant les merveilles de la création. Comment Hachem organise tous les miracles de la nature, les fleuves, les forêts la mer. Le monde végétal, animal et la couronne de tout cela, l’homme. Même les plus grands chercheurs du CNRS ou de la Nasa sont incapables d’implanter un petit doigt ex nihilo à la main d’un homme, si la nature l’a conçu sans auriculaire. Ne parlons pas de la vue ni de l’ouïe.

Toute cette observation de la nature amène l’homme à aimer D’. Un autre mode d’expression de l’amour de Hachem c’est la Dvékouth/le fait de vouloir se rapprocher au plus près de D’ (par les Mitsvoth). C’est un niveau très élevé qui est atteint par des Tsadikim qui ont compris que dans la vie la vraie félicité c’est se rapprocher de Hachem. C’est ce que le roi David écrit dans ses Psaumes : « Comme une biche dans le désert est assoiffée d’eau, de la même manière mon âme est assoiffée de Toi (Hachem)». Un troisième stade c’est JALOUSER son Créateur c’est-à-dire de ne pas supporter que les gens osent dénigrer le Créateur des Cieux et de la terre (et aussi tous ceux qui calomnient les Talmidé ‘Hakhamims/Avrékhim qui étudient la Loi de Hachem). C’est à l’image du bon fils qui ne supporte pas de voir son père se faire injurier. Il ne peut pas rester passif. C’est l’amour intrinsèque qu’il porte à son père qui le pousse à réagir immédiatement. Vis-à-vis de Hachem, c’est pareil. Le Tsadik ne pourra pas voir dénigrer son Créateur. D’après ce formidable enseignement du Messilath Yecharim, tout homme pourra savoir si son esprit de vengeance provient de l’amour de Hachem ou parce qu’il a une tendance coléreuse. Par exemple si notre homme est le premier à faire des manifestations à tous vents mais que par ailleurs ses Tefiloth de tous les jours ne sont pas exceptionnelles ! Ou encore que son étude de la Tora, ce n’est pas le grand amour… Alors il faudra qu’il réfléchisse bien à deux fois avant de se lancer dans la réprimande des fauteurs. A l’inverse, le Tsadik qui prie, et garde le Chabbath, comme un délice de même l’étude de la Tora … C’est autant de preuves qu’il cherche à servir son D’ de la meilleure manière et la jalousie peut faire aussi partie de son apanage Majestueux.

Et par rapport à Pin’has on a la preuve que son acte était mû par l’amour car il recevra en récompense l’alliance de la paix. Et la paix c’est le meilleur vecteur pour faire régner la bénédiction sur terre.

Donc on aura bien compris que tous ces extrémistes des banlieues à risques, ou d’Iran n’ont VRAIMENT rien à voir avec notre paracha (Cqfd).

Cohen et pourtant ne pas pouvoir faire la bénédiction journalière 

Le verset dit : Pin’has fils d’Eliézer fils d’Aharon HaCohen a apaisé Ma colère, c’est pourquoi Je lui donne l’alliance de la paix et aussi la prêtrise à lui et à ses descendants. C’est-à-dire que par son acte de bravoure, Hachem a récompensé Pin’has par deux choses : la longévité et la prêtrise. Dorénavant, Pin’has pourra officier comme Cohen au Sanctuaire. Les commentaires expliquent qu’au moment de l’inauguration du Temple dans le désert Aharon fut sacralisé grand Cohen (prêtre) ainsi que ses enfants. Cependant Pin’has, qui est le petit-fils d’Aharon, lors de l’intronisation n’a pas été oint par l’huile sacrée (uniquement les enfants de Aharon l’ont été) donc il sera exclu de la prêtrise. Il faudra attendre l’épisode de notre paracha pour que Hachem le choisisse comme prêtre (et le Talmud dans Zeva’him rapporte plusieurs avis si effectivement Pin’has a été anobli directement après l’acte de notre paracha ou plus tard (lorsque les Bené Israël sont rentrés en Erets et que Pin’has fit la paix entre les tribus).

Une question se pose au sujet de cet anoblissement : la Hala’ha (Or Ha’haim 128.35) stipule qu’un Cohen qui tue une personne même involontairement est exclu de la prêtrise. En effet, la Guemara (Berakhoth 32) l’apprend d’un verset que les Cohanim amènent la bénédiction sur terre grâce à leurs mains (lors de la bénédiction journalière, ils élèvent leurs mains sur le Clall Israël pour le bénir). Or, si un Cohen a tué, il ne pourra pas bénir la communauté car «des mains remplies de sang ne peuvent véhiculer la bénédiction». Donc comment comprendre le sacrement de Pin’has alors qu’il a tué le chef de tribu de Chim’on ainsi que la fille d’un roi ? Plus encore, il existe une discussion entre le Choul’han Aroukh et le Rama : si un Cohen a tué et pourtant s’est repenti pourrait-il reprendre son service et bénir le Clall Israël ? D’après le Choul’han Aroukh il ne le pourra pas.

Il reste qu’on doit comprendre comment Pin’has peut devenir Cohen alors que ses mains sont meurtrières ?

Le ‘Hidouché Harim (un des premier Admor de la ‘Hassidout Gour) explique que le Cohen est le vecteur de la bénédiction sur terre. C’est lui qui fait descendre la bonté de Hachem grâce à son service.

Or c’est précisément si notre homme se comporte avec le même attribut divin qui est la générosité. Une preuve en est, c’est que lors de la bénédiction si notre Cohen haït une personne du quorum de fidèles alors sa bénédiction ne pourra échoir au groupe (Zohar rapporté dans le Michna Beroura). Or, tuer, c’est le contraire de la générosité c’est le Din, la sévérité dans le jugement. Donc il ne sied pas à un homme qui doit amener la Berakha (bénédiction) qu’il soit en même temps empreint de la grande sévérité : c’est antinomique.

Mais pour Pin’has c’est différent ! Son acte était mué par une grande bonté et un amour de D’, car il a accompli une Halakha (tuer les fauteurs) qui n’est applicable que par une personne qui a accédé à un niveau très élevé de Dvekouth (de proximité) avec Hachem. Et c’est grâce à son acte que l’épidémie s’est arrêtée et que la colère divine s’est estompée et n’a pas entrainée plus de victimes dans le campement juif. Donc les mains de Pin’has étaient remplies de sang certes, mais c’était un sang purificateur.

Cette semaine on a parlé de Pin’has et de sa bravoure. Il faut savoir que dans l’histoire juive il a existé d’autres grands Tsadikim qui ont allié le zèle dans l’application de la Tora et aussi une grande bonté. Le gendre du ‘Hafets ‘Haïm, le rav Tsvi (Hirsh) Lévinson zatsal, était de cette trempe. Pour preuve lors de son décès précoce (il est mort d’une bronchite aigue dans les années 20 après avoir donné ses bottes à un élève de la Yechiva qui n’avait pas lui-même de chaussures), sa femme est venue voir son père (le ‘Hafets ‘Haïm) pour lui demander pourquoi Hachem lui avait pris son «Herschel» ?

Le ‘Hafets ‘Haïm répondit : « Est-ce que tu préfères qu’un tiers du Clall Israël parte ou que seul ton mari quitte ce monde ?» (C’est-à-dire que son niveau de sainteté était équivalent au tiers du Clall Israël !)

Le Sippour

Pour ne pas finir par demander la Tsedaka au Country Club…

Cette fois notre sippour n’est pas lié avec la paracha mais puisque la semaine dernière je vous ai parlé de l’importance de l’étude de la Tora, je continuerai sur la même lancée. De plus, cela nous ouvrira d’autres perspectives dans la vie.

Il s’agit d’un homme d’affaires de gros calibre habitant la Terre sainte à Hertzilia Pitoua’h (pour les connaisseurs). Pour les besoins du feuillet on l’appellera Chim’on.

Mes lecteurs le savent : on peut être grand commerçant ou même (au grand jamais…) requin dans le monde des affaires, mais la vie ne ressemble pas à un long fleuve tranquille. Il existe des points de chutes et des cascades (surtout pour les requins…) … Et effectivement la roue de la fortune tournera pour Chim’on lorsque le fisc et les tribunaux tomberont cruellement sur son affaire. Rapidement il était au point de faire un dépôt de bilan bien corsé. Sa situation ne trouvait pas d’issue. D’ici un mois il devait mettre en vendre tous ses biens : sa magnifique villa, ses nombreux biens immobiliers, etc. De plus, comme il s’agissait d’une affaire familiale, son vieux père devait aussi perdre sa belle maison, le mois suivant, pour se rendre dans un hospice pour vieillards subventionné par la Sécu israélienne. Chim’on se voyait déjà en train de demander la tsedaka à ses copains du Country Club de Césarée. En un mot : l’enfer !

Sa situation était tellement désespérée que notre homme prit pour la première fois de sa vie, les Tefilinnes qu’il n’avait pas mis depuis le jour de sa Bar Mitsva. Il partit à Bené Brak (pas très loin d’Hertziliah) pour aller prier dans un Minian de la ville des lumières. Dans la rue, il demanda aux passants s’il y avait une synagogue qui fonctionnait à pareille heure (vers les 10 heures) on lui indiqua la Shtiebler ‘Herskovitch » au début de l’avenue rabbi ‘Akiva (toujours pour les connaisseurs). Il gara sa belle voiture en face de la synagogue et entra dans une des salles. C’est avec beaucoup d’émotion qu’il mit les phylactères et il fit une prière comme jamais. Elle sortait  tout droit de son cœur. Il avait des larmes qui coulaient de ses yeux pendant toute la demi-heure. A ses côtés il remarqua un jeune Avrekh qui priait aussi avec des sanglots. A la fin de sa Tefila, il s’adressa à son voisin en lui demandant pourquoi était-il si affecté ? Le jeune Talmid ‘Hakham lui répondit qu’il devait à des caisses de prêts la coquette somme de 48 000 shékels (près de 12 000 euros) et qu’il avait de grandes difficultés à boucler son mois. C’était au-delà de ses capacités financières. Notre ex-nanti fit un rapide calcul : c’est vrai que d’ici un mois il doit se retrouver sur la paille, cependant dans les temps normaux il perçoit la « modique » somme de 400 000 shékels par mois… Donc 48 000 shéquels ce n’est pas très important (pas « la mer à boire »). De plus, une pensée lui traversera l’esprit (il avait peut-être lu « Autour de la magnifique Table du Chabbat, qui sait ?), il se dit : « Si j’aide cet Avrekh, Hachem me fera des miracles ». Armé de cette conviction il dit au jeune Talmid ‘Hakham : « Je suis prêt à te faire ce chèque à condition que tu pries pour moi ces trente prochains jours afin que je me sorte de mon pétrin ». Le jeune Avrekh était épaté mais il lui répondit dit qu’il ne pouvait pas prier pour lui, car il avait déjà une journée bien chargée entre son étude du matin, de l’après-midi et du soir… « Je ne peux vraiment pas lire les Tehilim à longueur de journée… je décline l’offre ». Chim’on était impressionné, pour la première fois de sa vie, on déclinait un bon chèque. Il dit : « OK, je vois que ton étude est importante pour toi, tu n’auras qu’à prier pour mon sauvetage durant tes prières journalières… Je m’appelle Chim’on ben Léa et voici les coordonnés de mon secrétaire. Tu lui diras expressément qu’il te prépare le chèque, c’est moi qui l’ordonne et qu’il fasse attention d’honorer le chèque. »

Chim’on repris alors le chemin d’Hertziliah, vers son bureau. La suite sera très intéressante puisque le lendemain matin il reçut un coup de fil d’un ami qui lui dit : « Tu sais, il y a trois ans je t’avais contacté pour investir dans la start-up que mon fils venait d’ouvrir. Tu l’avais aidé alors pour la coquette somme d’un million et demi de shékels. Or, mon fils vient de vendre son activité à une entreprise américaine pour une (ou plusieurs…) centaine de millions de dollars. Grâce à ton investissement, tu as droit à 7% de toute la transaction ». Du jour au lendemain, Chim’on venait de sortir du trou noir dans lequel il était plongé depuis des mois… Or il savait pertinemment que c’était dû aux 48 000 shéquels de la veille. Et effectivement au bout du mois, Chim’on remboursa le fisc et les différentes institutions qui lui réclamaient des sommes mirobolantes. Chim’on pouvait reprendre ses activités avec le reste des 7%, et le fleuve reprenait son cours dans la  tranquillité.

Quelques temps plus tard son fils ainé vint le voir pour l’informer qu’il s’apprêtait à faire un grand voyage vers l’extrême Orient. Le but du déplacement était pour adopter un jeune asiatique. En effet cela faisait des années qu’il était marié sans enfants et les médecins lui avaient affirmé que le couple ne pourraient jamais avoir de descendance. Lui et sa femme avaient alors contacté différents organismes afin de faire une démarche d’adoption. Le père l’interrompt : « Tu te souviens, il y a quelques mois j’étais dans une situation inextricable. Et du jour au lendemain j’ai vécu un retournement de situation exceptionnel. Or je suis convaincu que toute ma Hatsla’ha « Réussite » je la dois au fait que j’ai aidé un Talmid ‘Hakham dans la difficulté. Je suis sûr que c’est grâce à cette Tsedaka que Hachem m’a aidé. Donc, je ne suis pas prophète mais je suis certain que si tu fais comme moi, tu auras aussi la réussite. » Le fils était très attentif aux paroles de son père (qui n’avait pas l’habitude de rigoler), il dit : « J’ai déjà pris un billet d’avion pour dans un mois… Avant, je ferais un saut à Bené Brak et on verra bien… » Le fils tiendra parole et se rendit  rapidement à Bené Brak au Collel « ‘Hazon Ich ». Il s’assit au fond de la salle et observa un jeune Avrekh. Il s’approcha de lui et lui demanda qu’elle était sa situation financière. Il lui répondit « mon foyer tourne avec à peu près 6.000 shéquels par mois ».

Puis il demanda « Est-ce que tu as des crédits à rembourser ? » Le jeune Talmid ‘Hakham lui répondit qu’il devait rembourser chaque mois 2500 shéquels pour finir le paiement du prêt de son appartement. Le fils de Chim’on dit : « Je suis prêt à payer ton crédit à une condition : que tu pries pour moi afin que j’ai un enfant ». L’Avrekh accepta. Le fils rajouta : « On va de suite à la banque afin de régler ton crédit ». Le jeune Talmid ‘Hakham répondit : « J’ai mon étude jusqu’à 13 heures. Je ne veux pas manquer à mon Limoud ». Le fils Chim’on était si étonné qu’un individu refuse sa proposition incroyable pour ne pas perdre deux heures de « travail ». Cependant le fils de Chim’on préféra attendre à Bené Brak et sur le coup des 13 heures il se pointera à la sortie du Collel pour rencontrer l’Avrekh et l’accompagner à la banque afin de faire le nécessaire.

La suite (mes lecteurs invétérés d' »Autour de la magnifique Table du Chabbat » l’ont déjà deviné…) sera que le mois suivant le fils ne prendra pas l’avion en direction du grand Orient car sa femme avait fait entre temps un test à l’hôpital qui lui indiquait qu’elle attendait un bel évènement contre tous les pronostics. Et effectivement dans l’année elle donnera naissance à un bébé. Mazel Tov !

Le père conclura « Qu’on le croit ou pas, les faits sont là ! »

Ndlr, ce Sippour je l’ai lu dans un feuillet qui parait depuis de nombreuses années en Erets. L’auteur du feuillet m’a affirmé au téléphone que toutes ses histoires sont véridiques car il vérifie ses sources. Ces deux histoires montrent la force du soutien à l’étude de la Tora et du ‘Hessed. Nous savons que l’étude a la capacité de protéger la population en Erets et dans le monde (on l’a vu il y a deux mois lorsque l’Iran a envoyé des centaines de missiles balistiques qui par miracle n’ont fait aucun dégâts en Terre sainte, car c’est la Tora étudiée en Erets qui protège), donc à plus forte raison qu’elle amène la bénédiction à tous ceux qui la soutienne.

D’ailleurs mes lecteurs peuvent subventionner les institutions de Tora du rav Asher Brakha-Benedict chlita dans de nombreuses villes d’Erets et en particulier son Collel de Raanana (rehov Palmah 15) où j’étudie la journée (pour plus de renseignements voir ses conférences remplies d’Emouna sur le lien).

Chabbat Chalom et à la semaine prochaine si D’ le veut.

David Gold

Tél : 00972 55 677 87 47 ; email dbgo36@gmail .com

Une bénédiction à Eric Konqui et à son épouse (Paris) dans ce qu’ils entreprennent et l’éducation des enfants.

Et toujours une prière pour la libération des otages de Gaza et la protection de tout le Clall Israël et des soldats depuis le nord jusqu’au sud.

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