La position de La France insoumise vis-à-vis du Hamas et ses provocations constantes amènent le parti mélenchoniste vers un rappel des heures les plus sombres de notre Histoire. Si tout avait commencé par le refus de qualifier le Hamas de groupe terroriste, les déclarations de nombre d’élus insoumis sur les horreurs commises par les islamistes basés à Gaza n’ont fait que traîner LFI dans les bas-fonds de la collaboration la plus abjecte.
Danièle Obono, députée insoumise de Paris, ira jusqu’à dire qu’il s’agit d’un mouvement de résistance. Ersilia Soudais et Mathilde Panot, présidente du groupe LFI à l’Assemblée, défendront elles-aussi le Hamas en mettant sur un même plan les petites filles violées et démembrées, les bébés décapités et les terroristes du Hamas tués par l’armée israélienne. Lundi 30 octobre, sur CNews, Sébastien Chenu, député RN du Nord et vice-président de l’Assemblée nationale, a rappelé les propos tenus par les députés LFI afin de démontrer le danger qu’ils représentent pour la France.
Être antisémite est une chose, soutenir le terrorisme islamiste le plus barbare qui soit en est une autre. On remarquera aussi que l’antisémitisme, aujourd’hui en France, va de paire avec la haine contre les forces de l’ordre. Force est de constater que ces deux cibles de l’extrême-gauche viennent en parallèle d’une volonté très forte de détruire toute les valeurs de la France, son Histoire mais, plus largement, l’Occident en général. La chrétienté est alors ciblée sous l’angle de la laïcité où les mêmes défenseurs de cette prétendue laïcité deviennent les gardiens d’un islam rigoriste. Dans le cadre des attaques du 7 octobre, Sébastien Chenu (notre photo) dira que les élus LFI «ajoutent de l’huile sur le feu».
Les observateurs de la vie politique française constatent bien que, devant l’attitude des insoumis, tous les partis ont cessé d’utiliser un langage diplomatique pour parler de ce parti. À l’intérieur même de LFI, certains élus prennent leur distance avec Mélenchon et ses lieutenants comme Ruffin, Garrido ou Autain. Ici, pour le vice-président de l’Assemblée, les élus insoumis ne sont que «les serpillières du Hamas». Il ajoutera qu’«ils sont les complices de ces mouvements terroristes. Ils le sont de façon passive en refusant de qualifier le Hamas de terroriste et en chargeant Israël». Leur silence a été le même quand un terroriste tunisien a tué deux supporters suédois à Bruxelles.