Pas de réconcilation entre la Cour suprême et l’Etat

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Au cours des dernières semaines, le président de l’État a tenté de servir de médiateur entre le président de la Cour suprême et Netanyahou et Levin. Herzog a suggéré de former une équipe d’avocats au nom des parties et de parvenir à un accord. Cependant, la condition de Hayout a été rejetée en raison de Netanyahou et le refus de Levin et les pourparlers ont été arrêtés.

Be’hadré ‘Harédim – Vue de l’intérieur de la Haute Cour, gouv.

Ces dernières semaines, le président Yits’hak Herzog a tenté de servir de médiateur entre la présidente de la Cour suprême Ester Hayout et le Premier ministre Binyamin Netanyahou et le vice-ministre de la Justice Yariv Levin concernant la réforme du système judiciaire. Selon un article paru dans ‘News 13’, la décision n’a pas abouti en raison de la condition posée par le président Hayout qui a conduit à une impasse entre les parties.

Le plan du président était de former une équipe de juristes, chaque partie apportant ses propres juristes et experts, puis d’entamer des négociations sur les changements du système juridique. Cependant, lorsque Herzog est venu voir Esther Hayout et lui a proposé le plan, elle a fait clairement comprendre qu’elle ne serait prête à l’idée qu’à la condition que la législation de la Knesset et de l’adversaire de Levin soit entièrement et immédiatement gelée.

Herzog a transmis l’idée de Hayout au Premier ministre Netanyahou et au ministre Yariv Levin, mais les deux l’ont rejeté catégoriquement et les pourparlers ont pris fin.

La position du président Hayout est la position du système juridique. Le conseiller juridique de l’administration des tribunaux, Barak Lazer, a déclaré la même intention au sein de la commission des lois et de la constitution : selon lui, la première mesure à prendre est le gel de tous les programmes de réforme !

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