Inondations « dantesques » : comment expliquer les pluies diluviennes qui ont fait plus de 95 morts en Espagne ?
Des pluies diluviennes se sont abattues sur la région de Valence mardi 29 octobre, provoquant des inondations sans précédents au bilan humain et matériel dramatique. © Crédit photo : JOSE JORDAN / AFP
Le 29 octobre, la région de Valence en Espagne a été touchée par un épisode méditerranéen, associé à une goutte froide, qui a causé de très fortes pluies et des inondations dramatiques. Pourquoi a-t-il plu autant ?
Pourquoi de tels cumuls ?
« Ces forts cumuls de pluie s’expliquent par la récurrence d’orages extrêmement intenses, bien alimentés en humidité de Méditerranée », qui sont restés stationnaires dans la région de Valence, explique Météo-France. En cause, une goutte froide (dépression d’altitude associée à de l’air froid) qui est venue glisser sur le proche Atlantique pour se centrer mardi 29 octobre sur le nord du Maroc.
« Avec la présence d’air froid en altitude débordant sur l’Espagne, et des basses couches de l’atmosphère chaudes et humides, l’atmosphère est devenue instable, favorisant les développements orageux », ajoute Météo-France. Le relief dans l’arrière-pays de Valence a également contribué à la formation de ces orages, qui se sont régénérés continuellement au même endroit pendant plusieurs heures.
Quel lien avec le réchauffement climatique ?
« De tels épisodes ont déjà existé par le passé. Ils sont caractéristiques d’un climat méditerranéen », décrypte Météo-France. Ils sont liés à une configuration atmosphérique particulière, avec la présence d’une goutte froide en altitude et à la topographie de la région, avec la présence de relief à proximité d’une mer servant de carburant aux orages.
Si des épisodes méditerranéens très intenses ont déjà été observés dans la région de Valence, notamment en 1982 et 1987, il faut remonter au 11 septembre 1996 pour en retrouver un aussi intense, avec des cumuls de 520 mm en 24 heures. Surtout, « le changement climatique agit comme un facteur aggravant », selon Météo-France. Car l’augmentation de la température globale tend à accroître la quantité d’eau précipitable présente dans l’atmosphère, puisqu’une atmosphère plus chaude peut transporter plus de vapeur d’eau.
Un tel épisode est-il possible en France ?
Quant à savoir si de telles pluies peuvent toucher l’Hexagone, la goutte froide qui a causé des pluies diluviennes en Espagne est aussi « responsable de l’épisode méditerranéen du 26 et 27 octobre dans le Sud-Est », rappelle Météo-France. Des cumuls particulièrement importants avaient été relevés dans le Var et les Pyrénées-Orientales, notamment.
Que va-t-il advenir maintenant de cette goutte froide ? « Elle va devenir de moins en moins dynamique », prédit Météo-France, qui ajoute qu’on « devrait observer quelques précipitations modérées du côté des Pyrénées jusqu’à samedi. »
Notre conseil : relire la parachath Noa’h/Noé, lue ce Chabbath dans toutes les synagogues.
Certes que ces pluies montrent aux petits humains qu’ils n’ont que la taille d’une poussière, vus du ciel !
Ne pas oublier que la plupart des terres sont également inondées de pesticides, que ces derniers tue toutes les formes de vie permettant à notre bonne et vielle terre d’absorber ces eaux, si vitales. 90% des terres cultivables sont devenues imperméables, ces poisons éradiquent toute forme de vie, vers de terre, petits insectes, plusieurs millions de variétés de bactéries, chacune de ces variétés est à un élément indispensable dans la chaine garantissant le fonctionnement d’un équilibre fragiles et essentiel. Sans ces dons de HM, la terre est morte, de cette mort, nous ne pouvons rien attendre d’autre que des catastrophes et ce que nos sages nous expliqués il y a des milliers d’années.
Une terre tuée, assassinée ne peut que provoquer des inondations et des sécheresses. La terre est ses millions d’amis, chacun, donné par HM, ont un ennemi commun, un microgramme de ces pesticides et herbicides suffit pour foudroyer un humain, chaque année, en France, ils épandent plus de 120’000 tonnes de ces poisons, imaginer combien vous en consommer directement chaque année. Sans parler des bétonnages qui aussi participent à ces reflux d’eau de pluie !