Développement significatif en ce jour dans ce domaine, suite aux contacts entre le chef de l’opposition Benjamin Netanyahou et le bureau du procureur de l’État concernant un accord de plaidoyer : le bureau du procureur de l’État est prêt à apporter des modifications aux trois affaires dans lesquelles Nataniyahou est impliqué, et même à clore l’une d’entre elles. Le parquet est prêt à renoncer à l’incarcération effective. La question de la disgrâce dépend de la date à laquelle Netanyahou acceptera de démissionner. Tous les détails.
Be’hadré ‘Harédim – Ari Kalman
Le bureau du procureur de l’État est prêt à apporter des modifications aux « dossiers Netanyahou », dans le cadre des négociations entre le bureau du procureur de l’État et l’ancien Premier ministre Benjamin Netanyahou, et un accord de plaidoyer pourrait être signé avec Netanyahou dans les prochains jours.
– Dans l’affaire 4000, le parquet est prêt à revenir et de fait modifier l’acte d’accusation. En outre, dans un accord de plaidoyer modifié qui sera soumis au tribunal, le bureau du procureur de l’État est prêt à supprimer la clause de corruption et une clause d’abus de confiance apparaîtra en vertu de celle-ci.
– Dans l’affaire 2000, le bureau du procureur de l’État est prêt à clore complètement l’affaire.
– Dans le cas 1000, où il est question d’un volet de fraude et d’abus de confiance – le ministère public est prêt à supprimer les volets de la fraude, dans le libellé de l’infraction.
Si un accord est conclu entre le bureau du procureur de l’État et Netanyahou, il n’inclura pas un élément d’emprisonnement réel. Selon le reportage de News 12, la principale question est de savoir si Netanyahou démissionnera immédiatement de la Knesset, ou ne démissionnera qu’après la condamnation, et la date de sa démission a une importance en ce qui concerne la clause de stigmatisation.
Indépendamment de la réalité des faits qui lui sont reprochés, avérés ou non, le fait qu’il semble être possible de marchander avec la « justice » donne l’impression d’une pièce de théâtre, où tout est faux ou presque …