1,6 milliard de dollars: le montant que Nasrallah aurait fait passer en contrebande en préparation du «scénario de la fin du monde»
Divers rapports indiquent que le chef du Hezbollah fait de la contrebande d’énormes sommes au fil des ans, afin qu’il puisse fuir son pays si nécessaire. La source de la majeure partie de l’argent de contrebande se trouve dans le budget du Hezbollah et du gouvernement libanais
Le chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, se prépare-t-il pour le jour où il sera forcé de fuir le Liban? Selon des rapports publiés aujourd’hui (lundi 21 septembre), Nasrallah a travaillé pendant des années pour faire passer de grosses sommes d’argent dans divers comptes bancaires à travers le monde, dans le cadre de ses préparatifs pour ce que l’on appelle le «scénario de la fin du monde».
Selon les estimations, le chef du Hezbollah pourrait s’échapper le jour où il sera forcé de quitter le Liban, en raison d’un soulèvement civil généralisé contre son organisation ou de dommages importants contre le régime des Ayatollahs en Iran, qui représente son moteur économique le plus important. Selon les mêmes estimations, Nasrallah a jusqu’ici fait passer en contrebande plus de 1,6 milliard de dollars, à partir de comptes bancaires appartenant au Hezbollah et des sommes d’argent qui lui ont été transférées du gouvernement libanais vers des comptes privés dans le monde entier.
La contrebande d’argent se fait de manière décentralisée, avec la participation d’un certain nombre de comptes bancaires dans un certain nombre de pays différents à travers le monde. Entre autres, on estime que l’argent a été transféré à des banques au Brésil, au Paraguay, au Libéria, en Suisse et à Hong Kong. Selon certains soupçons, l’organisation du Hezbollah mène également des activités financières suspectes à travers les places financières de la Côte d’Ivoire. En outre, la possibilité est à l’étude que des banques américaines soient également impliquées dans l’affaire.
Assad Ahmad Barkat et Qassem Hajijj seraient également impliqués dans l’opération de contrebande. Les deux hommes sont considérés comme des banquiers chevronnés qui travaillent avec l’organisation terroriste libanaise depuis plusieurs années.
L’hypocrite qui n’assume rien.