Le député Moshe Arbel dans une conversation avec Kol Chai : « Demain, les mouvements réformés peuvent déjà déposer une requête auprès de la Haute Cour pour leur permettre d’être également des organismes qui accordent une garantie de cacherouth dans le pays. C’est une pente glissante. Un grand danger pour l’identité juive de l’État. »
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Le député Arbel a ajouté : « J’espère vraiment que nous pourrons bientôt changer la réalité politique en Israël », a-t-il ajouté.
Il a été interrogé sur le fait que la loi sur les arrangements, y compris la réforme de la cacherouth, a été adoptée sans acte de protestation de la part des partis orthodoxes et a précisé que de la manière dont ces réformes ont été présentées il n’y avait, juridiquement, pas moyen d’intervenir.
Arbel a accusé: « Chaque citoyen orthodoxe qui a préféré ne pas participer aux dernières élections a une part dans cette réalité qui est la nôtre à présent. »
Un décompte simple permet de saisir à quel point Arbel a raison : avec un ou deux députés de plus dans le groupe orthodoxe, ou au moins dans celui de Droite, la situation serait totalement différente. Evidemment, quand nous parlons de « Droite », nous ne pensons pas au groupe de Yemina, qui s’est avéré être un groupe traitre, vendant ses idéaux et ses « principes » (s’il y en avait dans ce groupe) pour un plat de lentilles…