Meurtre légal : l’hôpital a finalement décidé de mettre fin à la vie d’une fillette juive en Angleterre

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La saga de la fillette Alte Pixler continue de bouleverser le public orthodoxe et les prières et les efforts pour le succès de la campagne se poursuivent, mais Behadrei a appris que l’hôpital a reçu l’autorisation légale de déconnecter les appareils et de mettre fin à la vie de la fillette | La date du meurtre est déjà fixée…

Be’hadré ‘Harédim

L’hôpital du Royaume-Uni a l’intention de déconnecter les appareils respiratoires d’Alte Pixler et de mettre fin à ses jours ce vendredi.

Behadrei Haredim a appris que la direction de l’hôpital avait reçu l’autorisation de mener cette opération scandaleuse cette semaine, tout en ignorant de manière flagrante les demandes insistantes des parents de la fillette et des membres de leur famille de ne pas mettre fin à sa vie.

Selon la famille, le gouvernement israélien ne fait pas assez de pression sur la Grande-Bretagne et qu’il doit prendre soin de la vie des citoyens israéliens qui se trouvent à l’étranger.

Il y a environ une semaine, l’histoire qui trouble la Grande-Bretagne a été publiée : après 8 ans d’attente, Alte Tachi est née de ses parents israéliens Avraham et Chaya Pixler, adeptes de Belzh qui vivent à Londres, mais malheureusement, lors de la naissance en raison de manque d’oxygène, elle a subi des lésions cérébrales irréversibles. Depuis, pendant deux ans, elle a été hospitalisée et placée sous respiration assistée. Selon la famille, la recommandation de nombreux médecins spécialistes est de la relâcher chez elle avec des soins infirmiers mais l’hôpital refuse et rejette la demande.

« Un jour sans préavis, Alte a été transférée du service de soins post-natals après y avoir passé 15 mois au service de pédiatrie sans aucune coordination entre les médecins traitant Alta et les médecins du service de pédiatrie », a déclaré un membre de sa famille. « En conséquence, après environ une semaine, Alta a été à nouveau connectée à l’appareil d’assistance respiratoire, après en avoir été sevrée et n’avoir reçu qu’une assistance en oxygène. Elle a été transférée aux soins intensifs et a depuis été connectée à ce genre d’appareils. Peu de temps après, le les médecins ont déterminé qu’Alte était en danger ».

L’avis des médecins du service dans lequel elle a été hospitalisée après l’accouchement indique le contraire et recommande qu’elle soit renvoyée chez elle avec de l’oxygène. La famille refuse de déconnecter la fillette des appareils, et les médecins ont déféré la décision au tribunal malgré le fait que ses parents, les tuteurs légaux, s’y opposent.

La décision du tribunal

Pendant trois jours, le juge a entendu les réclamations de l’hôpital et de la famille et à la fin de la semaine, le juge a statué qu’Alte devait être débranchée – bien que les médecins aient admis à l’audience qu’elle pouvait vivre plusieurs plusieurs années avec ces appareils.

Les affirmations des parents selon lesquelles eux et Alta sont citoyens israéliens et souhaitent donc la transférer en Israël ont été rejetées. Aussi l’explication qu’ils appartiennent à la religion juive qui interdit l’euthanasie est tombée dans l’oreille d’un sourd.

Les parents ont même déclaré qu’ils voulaient vivre à nouveau dans le pays avec Alta et quand viendra le temps de rendre son âme, ils veulent qu’elle soit enterrée dans le pays sans aucun délai. Le juge a rejeté toutes leurs demandes, arguant qu’elle était une petite fille qui ne savait pas et ne comprenait pas ce qu’étaient la religion et le judaïsme – et donc cet argument ne devrait pas du tout être pris en compte. Le juge a également ajouté qu’il n’y avait aucune preuve qu’Alte s’était comportée dans sa vie en tant que juive, et puisqu’elle est née en Angleterre, le fait même qu’elle était citoyenne israélienne ne constitue pas une protection contre la loi britannique.

Pendant ce temps, le député Israel Eichler fait de son mieux pour aider la famille dans cette période difficile et son bureau a déclaré : « Nous avons approché le ministre de la Santé et le procureur général. Pour nous, c’est un meurtre total. Nous avons demandé à amener la fille en Israël car ici la loi ne permet pas une telle injustice, je mentionne que la fille est aussi israélienne, elle a un passeport israélien. »

Eichler a ajouté : « J’espère et je prie pour qu’avec l’aide de D’, nous pourrons l’amener en Israël. S’il existe un concept de sauver des vies dans le sens le plus simple du terme, il est ici. C’est une fille qui est vivante et ne doit pas être tuée. »

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